Felix Felicis
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• somewhere over the rainbow.

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Rainbow E. Weatherley
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Rainbow E. Weatherley

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Blabla

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MessageSujet: • somewhere over the rainbow.   • somewhere over the rainbow. EmptyDim 2 Mai - 23:59



RAINBOW EELLS WEATHERLEY
Personnage élève


Informations essentielles


Nom : WEATHERLEY.
Prénom : Rainbow Eells.
Âge : Dix-neuf ans.
Cursus, options : Juriste du Magenmagot.
Collège fréquenté : Poudlard.
Ancienne maison : Serdaigle.
Caractère : Douce, maligne, sociable, rêveuse, intelligente, studieuse, extravertie, romantique, maladroite, soucieuse, perfectionniste, sarcastique et un brin impulsive.
Baguette : Bois de charme, 22,3 cm, possède une unique griffe de fléreur.
Patronus : Un fléreur.
Epouvantard : Sa soeur Gypsy, morte.
• somewhere over the rainbow. B5sdgz
crédit avatar : psychozee

Informations Hors-Jeu


Pseudo : Gwn.
Âge : Dix-neuf ans.
Avatar souhaité : Kristen Stewart, mon idole pour la viie.
Présence : 7/7.
Commentaires : FFiens, je vous aime I love you


Dernière édition par Rainbow E. Weatherley le Mer 5 Mai - 17:58, édité 3 fois
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Rainbow E. Weatherley
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Rainbow E. Weatherley

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Blabla

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MessageSujet: Re: • somewhere over the rainbow.   • somewhere over the rainbow. EmptyDim 2 Mai - 23:59

• somewhere over the rainbow. Sanstitre6h
crédit avatar : manchee


Ce n’est pas une histoire sombre, ni même dramatique. Ce n’est pas un roman sanglant, aux personnages turbulents et violents. Non, ce n’est rien de tout ça.
C’est une histoire d’amour, celle de Gypsy et Rainbow.




    Derrière la fenêtre à la peinture écaillée de la chambre, la lune éclairait la nuit noire. Dans la pièce, deux lits identiques dont l’état laissait à désirer, tout comme l’orphelinat lui-même. Deux fillettes aux longs cheveux châtains étaient installées dans l’un des lits, blotties l’une contre l’autre, le regard posé sur le ciel obscur. Elles se ressemblaient trait pour trait ; elles possédaient la même peau laiteuse, le même regard d’un vert pénétrant. Seules leurs expressions pouvaient trahir leur différence : Gypsy paraissait toujours sur le point de sauter sur ses pieds et de protéger sa sœur, à laquelle elle ne pouvait s’empêcher de couler des regards inquiets, alors que cette dernière semblait avoir en permanence la tête dans les nuages, la mine rêveuse. Car malgré la similarité exceptionnelle de leurs traits, les deux fillettes avaient deux caractères radicalement opposés, qui s’étaient développés dès leurs premiers gestes et premières paroles. L’une était impulsive et véritable boute-en-train, ne reculant jamais devant les intendantes de l’orphelinat qu’elle défiait du regard. Elle était appréciée par les garçons en général parce que, oui, elle était la plus « rigolote » du lot. L’autre était beaucoup plus douce, calme et réservée, n’hésitant pas à réprimer sa sœur lorsque celle-ci faisait les quatre cents coups là où elles vivaient depuis toujours : l’orphelinat magique. Elles n’avaient jamais connu leurs parents et la directrice de l’orphelinat ne leur avait jamais divulgué le moindre détail sur leurs identités, ce que regrettaient parfois les fillettes bien qu’en réalité ce devait être mieux ainsi. Parce que malgré tout, les jeunes filles se suffisaient à elle-même et n’avaient besoin de nul autre pour survivre que l’une et l’autre.
    Laissant un soupir passer le seuil de ses lèvres délicates, Gypsy que l’on reconnaissait à son air renfrogné jeta un coup d’œil à sa sœur qui ne put s’empêcher de croiser le regard qui était aussi le sien. Rainbow leva un sourcil interrogateur avant de se serrer davantage contre sa sœur. En général, elles n’avaient pas besoin de mots pour parler, se comprenant sans ayant recours aux paroles, mais parfois il s’avérait que la plus douce des deux ait besoin d’exprimer ses craintes de vive voix. « Je ne veux pas y aller, Gyp’. Je ne veux pas aller à Poudlard ». L’intéressée haussa les épaules : « mais qu'est-ce que tu racontes ? Ca va être génial là-bas, tu imagines, aucune intendante pour nous faire la morale, des banquets grands comme ça et surtout, surtout des cours de vol sur balai ! ». Les yeux de la petite fille brillaient à l’allusion des balais volants. Rainbow, elle, n’était pas d’accord. Elle n’aimait pas le changement, elle n’aimait pas que ses habitudes soient bousculées. La routine la réconfortait. « Mais Gyp’, si jamais nous ne sommes pas dans la même maison… », la fillette murmura ces paroles d’une voix si frêle et si inquiète que Gypsy posa sa main sur le bras de sa sœur, lui décochant un sourire réconfortant : « Nous serons ensemble, toujours. Rien ne nous séparera, tu le sais, pas même une fichue maison ! ». En dépit de ses craintes, Rainbow ne put s’empêcher d’esquisser un sourire furtif : c’était tout Gypsy ça, vouloir la consoler même quand il fallait se rendre à l’évidence et que leurs caractères opposés ne leur permettraient pas cette fois-ci de rester ensemble. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle y pensait, et au fur et à mesure que les jours et semaines passaient, la crainte grandissait inéluctablement en elle. Lorsque cette pensée lui traversait l’esprit, sa gorge se nouait et une douleur dans sa poitrine apparaissait. Toujours. Parce que Rainbow sans Gypsy n’existait pas, et ce dans aucune réalité alternative possible. Elle était tout ce dont elle avait besoin. Oui, Rain n’avait nul besoin de jouet superficiel, de petit garçon lui courant après en lui adressant milles sourires taquins, ni même de bonnes notes. Rainbow ne désirait qu’une seule et unique chose : rester à tout jamais aux cotés de sa sœur, Gypsy la combattante, celle qui ne reculait devant rien et qui la protégeait de toute force de menace : des cauchemars comme des intendantes strictes. Gypsy, c’était tout. A l’idée de la perdre, la petite frémit, une larme menaçant de venir rouler le long de sa joue. « Tu me le promets, dis, tu me promets qu’on ne sera jamais séparées ? Que tu m’aimeras toujours, même quand je serai une adolescente hideuse que personne n’aimera ? Même quand tu seras la fille la plus populaire du Château et que tu auras plein d’amis ? Dis, tu m’aimeras toujours quand le Choixpeau nous séparera ? Gyp’, s’il-te-plait, promet-le moi ». L’ombre d’un sourire passa sur les lèvres de cette dernière. Comment sa sœur pouvait-elle avoir des craintes à ce sujet ? Combien de fois lui avait-elle répondu qu’elle l’aimerait toujours, quoiqu’il arrive ? « Oui, ma Rain, je te le promets. Je t’aimerai toujours. Toujours ». La larme s’échappa du regard clair de Rain lorsqu’elle déposa un baiser sur la joue de sa sœur. Elle l’aimerait toujours, et c’était là la chose la plus importante.


On dit que le premier est inoubliable, que cet amour est unique et dévastateur. Ce que l’on n’explique pourtant pas est la douleur que l’on ressent quand le chapitre se clôt.




    La lumière flanchait peu à peu, la lune s’appropriant la nuit noire. Le parc était vide, dénué de toute trace d’humanité. L’herbe humide comme les feuilles encore perchées sur les branches étaient doucement agités par la brise glaciale qui sévissait toujours en plein mois de mars. Au loin, le lac à la surface lisse et d’un noir de jais, peuplé de toutes sortes de créatures aquatiques. Plus loin encore, l’éclat lunaire reflétait l’ombre des arbres qui se balançait délicatement à la lisière de la forêt interdite. Pour tout visiteur nocturne peu habitué à ce genre de décor qui aurait pu sortir tout droit d’un film d’horreur moldu vous donnant froid dans le dos, il n’aurait été guère surprenant de voir ses yeux s’écarquiller devant pareil spectacle, avant de prendre ses jambes à son cou et de quitter cet endroit pour le moins inquiétant. Mais voilà, les élèves de Poudlard étaient loin d’être des personnes ordinaires. Eux étaient plutôt du genre à s’extasier devant la frayeur, à se délecter à la vue d’un endroit aussi peu commun, aussi effroyable. Il fallait pourtant bien l’admettre : ces derniers étaient habitués aux décors sinistres, aux beautés frappantes mais effrayantes. Et Rainbow l’était encore plus. Ayant vécu dans un orphelinat magique mais qui n’en restait pas moins miteux, elle n’avait plus peur de rencontrer un tel décor en dépit du fait qu’elle soit loin d’être la plus courageuse de tous. Sa frêle silhouette se distinguait à peine parmi l’obscurité enveloppant la nuit. Emmitouflée dans une cape de voyage, celle qui la tenait le plus au chaud, elle avançait doucement en direction du Saule Cogneur dont la réputation n’était plus à faire. Cette nuit-là, elle avait eu beaucoup de mal à se résoudre à quitter le confort de son chaleureux lit à baldaquin du haut de la tour des Serdaigle pour faire le mur et rejoindre le Serpentard ténébreux dont elle était tristement tombé amoureuse. Tristement, parce qu’il était certainement la personne la moins recommandable pour elle. Ils étaient aux antipodes l’un de l’autre. Lui était froid, distant, cynique et un peu trop imbu. Et elle était sociable, ouverte, curieuse et modeste. Il venait d’une richissime famille ; elle d’un misérable orphelinat. Il était de sang pur ; elle ne connaissait pas le degré de pureté de son sang. Non, ils n’avaient rien en commun et pourtant inéluctablement, et contre toute attente, elle n’avait pas su lui résister. Et c’était ainsi qu’elle se retrouvait, resserrant l’étreinte de sa cape, ses dents claquant sous l’effet du froid, une boule au ventre grandissant au fur et à mesure qu’elle avançait. « Rejoins-moi à minuit près du Saule. Besoin de te parler. E. », voilà ce qu’il lui avait envoyé. De nature plutôt perspicace, et se fiant généralement à une intuition qui ne la trompait que rarement, elle pressentait que quelque chose allait arriver. Elle ne savait ni comment ni pourquoi, mais quelque chose clochait, ne correspondait pas. Une rencontre dangereuse au beau milieu de la nuit, alors qu’ils pouvaient se voir en plein jour. Pourquoi ? Soupirant, la jeune fille arriva enfin près du Saule et un regard à sa montre lui indiqua qu’elle était pile à l’heure. Et que par conséquent, lui était en retard. Elle patienta quelques secondes, jusqu’à ce qu’elle aperçoit une silhouette au loin, se rapprochant rapidement. Elias. Elle le vit s’approcher doucement et en elle, le pressentiment pris plus d’ampleur. La démarche assurée, le regard hautain, Elias arriva enfin à ses cotés. Ils ne s’embrassèrent pas. La jeune fille ancra son regard dans le sien, et y dénicha une lueur nouvelle. Ses doigts jouant nerveusement avec le tissu de sa cape, elle se sentait mal à l’aise. Il brisa alors le silence : « je ne savais pas si tu allais venir, Rainbow. Mais je suis contente que tu sois là… ». Rainbow, pourquoi s’entêtait-il à l’appeler de la sorte alors que tout le Monde ici l’appelait par son diminutif « Rain ». Ses lèvres esquissèrent un sourire : après tout, son intuition l’avait peut-être trompée pour une fois. « C’est parce que je suis chez les Serdaigle ? Si tu savais le nombre incalculable de bêtises que peuvent faire ceux que l’on appelle les rats de bibliothèques… » ; elle s’approcha doucement de lui et, prenant confiance, enroula ses bras autour de son cou. Son sourire éclairait toujours son visage, et la jeune fille approcha ses lèvres de celles du Serpentard. Sa bouche contre la sienne, elle lui murmura « la preuve ». Alors, elle pressa ses lèvres contre les siennes. Elle sentit Elias avoir un mouvement de recul, mais bientôt ses bras serraient sa taille. La jeune fille se laissa aller, l’embrassant avec tant de passion qu’elle en avait la respiration coupée. Elle aurait pourtant pu continuer ainsi, à étreindre son premier amour, s’il ne s’était pas soudainement reculé. Il secoua la tête, semblant vouloir se remettre les idées en place. Puis : « Non, tu ne comprends pas. Je ne suis pas venu pour ça ». Rain fronça les sourcils. Elle le savait depuis le début, depuis qu’il était arrivé le regard sérieux. Elle le savait et pourtant ressentait le besoin de l’entendre. « Alors pour quoi es-tu venu exactement ? ». Il prit son inspiration et un maigre sourire cajoleur vint se coller à ses lèvres : « Tu es trop bien pour moi, je suis d'ailleurs obligé d'aller voir ailleurs. Pour mon bien, je préfère clore notre relation ». La jeune fille ne pouvait en croire ses oreilles et resta figée un instant. Elle avait bien entendu ces mots teintés d’ironie, ces phrases brutales qui resteraient gravées dans sa mémoire. « Tu quoi ? » demanda-t-elle le plus sérieusement du Monde. « Je te quitte, c’est fini, voilà tout ». Ces nouvelles paroles eurent l’effet d’un coup de poignard pour Rain qui s’attendait tout de même à plus de douceur. Alors, elle tourna les talons, sans ajouter un mot. Elle aurait préféré courir, s’envoler et retrouver son lit douillet dans la seconde et pourtant elle n’en fit rien, marchant dignement en direction du château. Et quand plus tard elle passa le seuil de son dortoir, les larmes se mirent à perler sur ses joues rosies par le froid. Se jetant presque sur son lit à baldaquin, elle enfouit son corps en dessous des couvertures brodées de bleu et d’argent.


Et le phénix renait de ses cendres, majestueuse créature dont la vie n’est qu’un éternel recommencement. Ses perles ont, dit-on, des propriétés extraordinaires. Les miennes ne sont plus qu’amers souvenirs.




    Assise dans l’amphithéâtre de droit Justus Pilliwickle, Rainbow écoutait parler son professeur, M. Blackburn, tandis qu’elle griffonnait distraitement sur sa feuille de cours. La jeune fille avait peu changé au cours de ces dernières années, physiquement parlant tout du moins. Ses longs cheveux châtains encadraient son visage aux traits délicats et à la peau diaphane. Son regard émeraude renforçait toujours autant son coté rêveur. Elle était devenue une femme, les courbes de son corps n’ayant plus rien à voir avec les rondeurs enfantines. Pourtant, si le physique de la jeune femme avait évolué ce n’était rien comparé à son caractère. L’influence de sa sœur avait semblait-il agi sur sa personnalité et elle n’était plus la gamine introvertie et fleur bleue d’autre fois. Sociable et ouverte aux autres, elle n’avait eu aucun problème à tisser des liens avec les élèves de Chudley dès les premiers jours, certaines têtes lui revenant même de ses années Poudlard. Rainbow était toujours rêveuse, certes. C’était d’ailleurs ce qui l’avait conduit jusqu’ici alors qu’elle avait été diplômée de Poudlard avec mention. Le rêve de devenir quelqu’un d’important, et non une simple employée du Ministère. La jeune fille soupira : si un jour elle devenait juriste, elle serait certainement la plus heureuse de tous. En attendant, elle devait se concentrer sur le discours que tenait M. Blackburn si elle ne voulait pas se retrouver larguée des les premières heures de cours de son année. Alors qu’elle essayait de focaliser toute son attention sur le cours, la jeune fille assise à ses cotés lui donna un coup de coude. Leanne, une amie qu’elle connaissait vaguement de Poudlard, lui adressa un sourire taquin : « regarde discrètement à ta gauche. Je crois que tu as un ticket, ma vieille ». Levant les yeux au ciel mais tout de même intriguée, la jeune fille jeta un coup d’œil furtif dans la direction indiquée. Elle croisa un regard qui lui était familier : un regard clair, de ceux que l’on n’oublie pas. Tristàn Cartwright. Elle lui adressa un rapide sourire avant de se retourner vers Leanne qui n’avait, bien entendu, pas loupé une seule minute de l’échange rapide : « Eh bien dîtes-moi, Rainbow Weatherley, je ne vous soupçonnais pas d’être aussi aguicheuse ! ». L’intéressée faillit éclater de rire, mais se contenta d’un sourire quand elle surprit le regard de son professeur. Elle chuchota à sa voisine « mais non tu n'y es pas du tout là, je le connais voilà tout. Ne te fais pas d’idées. ». Le sourire de Leanne s’agrandit : « c’est ça, et moi je suis un hippogriffe borgne, boiteux et manchot aussi. Ne fais pas l’innocente, il n’y a qu’à voir comment il te regarde, l’autre. On dirait qu’il va te sauter dessus en plein cours de droit ». Cette fois-ci Rain ne pu réprimer un rire discret : « tu disjonctes, Leanne. C’est le meilleur ami de ma sœur ». « Ouuh, là ça devient bien salace » ; Rain plaqua ses mains contre sa bouche pour dissimuler son fou rire. Quand elle reprit son sérieux, elle répondit : « Tu es vraiment… » « Dites, on ne vous dérange pas là-haut par hasard ? Parce que sinon, vous le dites, on peut s’en aller et vous laisser discuter tranquillement ». Oups. Rain vira au rouge cramoisi lorsque toutes les têtes se retournèrent dans sa direction. Faisant profil bas, elle fit mine de s’intéresser au cours qu’elle avait à peine pris en note. M. Blackburn finit par reprendre son discours sur un quelconque procès, sans se priver de lui lancer un regard peu élogieux. « En tout cas s’il n’y a vraiment rien entre vous, préviens-moi. Personnellement, je ne dirais pas non à une petite entrevue avec ce garçon, si tu vois ce que je veux dire ». Oh ça oui, Rain voyait exactement ce qu’elle laissait sous entendre. Mordillant l’extrémité de sa plume, elle se surprit à penser au garçon en question, avant de poser à nouveau ses yeux sur lui. Une nouvelle fois, leurs regards se rencontrèrent. Un sourire discret était installé sur les lèvres du jeune homme, ce qui n’augurait rien de bon.
    .


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