Felix Felicis
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don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.

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Mousse Lewis
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Mousse Lewis


Blabla

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MessageSujet: don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.   don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. EmptyLun 17 Nov - 22:17


don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. Blendagatheus1



    questions de hors-jeu.

    Prénom - Julie.
    Age - Quinze et quatre-vingt-dix pour cent, ah ah.
    Comment avez-vous trouvé le forum ? C'était en des temps immémoriaux...
    Commentaires sur le design, l'intrigue, etc. - Le design est top, l'intrigue est chouette, et euh - le reste est bien aussi x)
    Présence sur le forum - 3 à 7/7.
    Avatar désiré - Bonnie Wright <3.
    Code du réglement - Nobody is perfect, I am nobody. (J'aime pas cette phrase... gneu.)



    roleplay.

    « Il paraît que c'est ici que je dois raconter ma vie. Mon enfance, tout ça. Hm... Pas facile, pas vrai ? Bon. Euh. Je n'ai pas la prétention de dire que c'est un événement qui a marqué durablement ma mémoire, mais j'ai dû naître, un jour - si on suit la logique d'existence qui est la nôtre. (De fait, je vous parle donc j'existe ; et si j'existe c'est que j'ai été créée, à un moment ou à un autre. Imparable.) (Ah, déjà les lapalissades métaphysiques preneuses de tête, l'auteur doit être en forme.) Mais je m'enfonce (?). Quoi qu'il en soit, je suis née un jour, et peut-être même quelque part - mais posez donc la question à mon frère, au lieu de m'embêter, c'est le genre de trucs qu'il retient, lui.

    Euh. Que diriez-vous de commencer par le premier chapitre ? J'aurais aimé vous parler du titre que j'aurais bien donné à mon histoire (si ce titre n'avait pas déjà été - quasiment - pris et s'il avait eu un quelconque rapport avec le contenu de ma vie), mais l'auteur n'est pas très pour que je disserte là-dessus... C'est difficile d'être manipulée par quelqu'un qui a un acendant extraordinaire sur vous, vous savez. En plus, souvent, les auteurs sont mégalos, ou sadiques, ou les deux, ce qui fait qu'on se tape toujours leurs fantasmes et délires les plus profonds, ou les expériences les plus cruelles qu'ils peuvent imaginer, ou les deux - la vie de personnage n'est pas une vie.

    Bon, d'accord, rapidement, avant que le premier chapitre ne s'amène (il se prépare dans les coulisses). Ç'aurait été The rise and fall of Agathe Morrison and the Spiders from Mars. La classe non ? Comment ça, ça vous rappelle quelque chose ? »


Dernière édition par Agathe Morrison le Dim 30 Nov - 0:18, édité 4 fois
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Mousse Lewis
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Blabla

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MessageSujet: Re: don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.   don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. EmptyLun 24 Nov - 19:01


      chapitre un - vous aussi votre premier réflexe, si vous étiez nouveau dans une école tibétaine, ce serait de raconter à tout va que vous avez vu le yéti ?

    Agathe Morrison devint simplement Aggie au lendemain de ses six ans. Cela correspond au moment où maman Morrison (qui n'avait pas de prénom, du moins selon sa fille) lui prit la main et la traîna derrière elle, pendant des mois, du Sud vers le Nord, de l'Australie vers le Tibet, sans relâche ; et, si ceci était un film, vous verriez maman Morrison trimballer sa gamine comme une poupée de chiffon à travers un globe terrestre simpliste, avec en pointillés le chemin déjà parcouru derrière elles (sans compter qu'Agathe sursauterait à la traversée de l'Equateur, matérialisé en rouge, qui lui brûlerait les fesses).
    La situation était la suivante : après quelques années de vagabondages béats, les tourteraux Morrison s'étaient posés à Mackay, Australie, pour y devenir les (malheureux) parents Morrison. Leur couple avait survécu à quelques années de sédentarisme agrémentées de couches et de biberons, mais, bientôt, papa avait eu des fourmis dans les jambes à force de ne pas bouger, et maman, une soif d'aventure décuplée. En fait, ils ressemblaient à des drogués de l'exploration - des drogués en manque. Alors, ils avaient pris une décision. D'abord, ils avaient plongé chacun une main dans le petit monde enchanté de leurs jumeaux, crevant leur ciel de papier mâché bleu vif et étouffant quelques piafs au passage, puis en avaient attrappé chacun un, à tâtons, par la peau du dos. Enfin, maman s'était barrée le plus vite possible avec le résultat de sa pêche (Agathe) droit vers le grand Nord, tandis que papa emportait son propre butin (Taylor) au Pérou.
    Ce que maman Morrison ne savait pas, c'est qu'elle n'emportait pas sa fille entière avec elle. Agathe s'était scindée en deux : Gath' restait avec Taylor, dans un coin de la tête de celui-ci (dans son imaginaire divisionnaire, c'est elle qui a rendu son frangin si délicieusement cinglé en pourrissant son cerveau jusqu'à la moelle) ; et la deuxième partie d'elle, la plus importante, suivait sa génitrice par monts et par vaux. C'est comme cela qu'Agathe, number two, devint Aggie.

    Maman Morrison eut la charmante idée d'aller se fixer dans une petite cabane à flanc d'un immense pic, quelque part dans l'Himalaya - car, selon elle, il ne fallait pas exagérer, sa progéniture avait besoin d'un minimum de stabilité. La (plus si) jeune femme accrocha tout de suite avec les quelque soixante-deux habitants du petit village au bas de ce fameux pic. A son arrivée, elle leur avait échangé quelques jolis bijoux contre un adorable (et capricieux) yak ; et, tous les matins, elle perchait sa fille sur le dos de l'animal, s'installait derrière et descendait très très précautionneusement vers la Civilisation. (Vous ne pourriez même pas imaginer combien la moumoute extralongue de sa monture mettait Aggie en joie).

    Lorsque Aggie eut atteint l'âge vénérable de huit ans, maman Morrison l'envoya dans le semblant d'école qui s'était créé dans le village, histoire que sa fille reçoive un semblant d'éducation et qu'elle ait un semblant de chances de s'en sortir dans la vie. Elle avait beau crécher là-haut depuis deux ans, la petite fille ne s'était pourtant pas franchement liée d'amitié avec les mini-Tibétains du coin - essentiellement, ils avaient peur de ses cheveux rouge vif (bon...), et elle avait eu du mal à se débrouiller dans leur langue maternelle les premiers mois (re-bon). Par conséquent, lorsqu'elle descendit seule au village, ce matin-là - du moins, seule avec le pauvre yak -, elle ressentit un peu d'appréhension. Appréhension d'autant plus forte qu'une quasi tempête de neige s'était déclenchée en quelques minutes chrono, et que, bien que massif, l'animal semblait plus vacillant que jamais sur ses sabots. Viouuuuufffff. Pour se donner du courage, ainsi qu'à son vaillant destrier, Aggie entonna doucement Riders on the storm (si parfaitement chanté par le Jim du même nom qu'elle, des tas d'années auparavant) ; mais ses mots se perdaient dans le vent glacé. Heureusement qu'elle connaissait le chemin, hein.
    Tout à coup, un mouvement attira son attention, à vingt ou trente mètres sur sa gauche. Le yak, sentant presque dans ses terminaisons nerveuses la soudaine tension qui animait Aggie, ralentit instinctivement. C'est alors que, à travers les tourbillons de flocons quasiment brillants (tourbillons de fleurs blanches, songea Morrison fort peu à propos), elle crut voir une masse énorme sortir de derrière un rocher pour s'enfoncer de nouveau dans la brume épaisse et humide. Clic, clic, clic, faisaient les rouages de son cerveau - ou plutôt de sa moitié de cerveau. Elle ne connaissait pas la faune du coin dans les détails. Ou bien c'était un ours, ou bien...
    « BIG FOOOOOT ! hurla-t-elle avec enthousiasme. BIG FOOT ! REVIEENS ! »
    (Les puristes remarqueront que "Bigfoot" ne désigne pas vraiment le Yéti mais plutôt un de ses cousins (tout aussi imaginaire ?) d'Amérique du Nord. Toutefois, pardonnez à Aggie : elle est sous le coup de l'émotion, et puis, c'est le mot le plus approprié qu'elle connaisse.)
    Chez cette fille, l'adrénaline et le goût de l'aventure avaient toujours eu tendance à monter plus vite que des sentiments étranges tels que la peur ou simplement la non-crétinerie. C'est pourquoi son premier réflexe fut de vouloir suivre l'éventuel (COMMENT CA, EVENTUEL ??) Yéti - oubliée, l'école, oubliés, ces sales gamins bruns qui avaient tous la même tête. Seulement, le foutu yak ne partageait pas son excitation ; pire, bien plus raisonnable que sa passagère, il s'empressa de se tirer de cet endroit maudit malgré les coups de talons d'Aggie (elle se prenait pour un cowboy ou quoi ? Il n'allait pas se mettre à hennir non plus).
    Enfin bref, l'animal se dépêcha de dévaler ce qui restait de pente pour arriver jusqu'au village, pendant que la rouquine ingrate se défoulait de toute la force de ses poings sur sa fourrure épaisse. Ce faisant, elle l'insultait en tibétain - comment voulez-vous qu'un yak tibétain stupide comprenne l'anglais ? -, et par conséquent, quand elle débarqua à toute berzingue dans l'unique long chemin qui traversait le groupement d'habitations, tout le monde vit une gamine surgelée, couverte de poudreuse, les yeux révulsés, le nez aussi écarlate que ses cheveux (en bataille) à la fois surexcitée et enragée, hurler des Connard ! Connard ! à un pauvre yak essoufflé.
    On fait peut-être mieux, pour un premier jour d'école.

    Les choses auraient pu s'arrêter là, mais ce serait compter sans notre Aggie préférée. Lorsque sa silhouette s'encadra devant la porte de l'abri sombre qui servait de salle de classe, sept regards sombres convergèrent immédiatement vers elle - et surtout vers ses cheveux explosifs, son visage bien trop rouge, son nez bien trop long, ses yeux bien trop ronds. Ils la connaissaient tous, bien entendu, mais aucun de ces gamins ne lui avait jamais adressé la parole ; le seul ici à connaître le son de la voix de la petite fille se trouvait être le parvenu qui servait de professeur, et encore : il parlait toujours à tout le monde pour se rendre intéressant. (Cet homme de cinquante-six ans semblait, à l'unanimité, le plus apte à tenter d'inculquer quelques leçons à sept enfants ignares, parce que 1) il avait l'air d'un sage avec son crâne rasé et 2) le frère de la cousine de la grand-mère du yak de la tante de la charrette de son grand-père (ou l'inverse) avait été "auditionné" brièvement lors de la dernière recherche de la prochaine réincarnation du Dalaï Lama.)
    Quoi qu'il en soit, le chauve-qui-avait-des-relations proposa humblement à la nouvelle arrivante de se présenter ; au lieu de quoi, elle explosa en hurlant (avec jubilation) qu'une bête énorme, qu'on appelait "Bigfoot" chez elle, se baladait un peu plus haut dans les montagnes, après quoi elle ajouta quelques détails auxquels personne ne comprit rien à propos de "Tintin", d'un "avion", d'un certain Chang et de "bandes dessinées". Enfin bref, personne ne jugea utile de lui répondre et se contenta de lui lancer des coups d'oeil navrés ; mais, quand Morrison s'assit à côté des autres, par terre, l'une des élèves lui glissa à l'oreille qu'elle l'avait vu aussi quelques années auparavant rôder dans le coin, et que c'était lui qui avait mangé l'âme de son grand-père cette nuit-là, ce qui l'arrangeait bien puisque son grand-père avait toujours eu de violents griefs contre le sexe féminin.
    Autant vous dire que ces deux-là devinrent copines tout de suite.
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Mousse Lewis
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Blabla

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MessageSujet: Re: don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.   don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. EmptyLun 24 Nov - 19:04


      chapitre deux - et ton père, il grimpe aux arbres ?

    Vous. Vous. Oui, vous, là. Le type en imper. C'est vous qui vous amusez à tagger les arbres du parc, planqué sous une perruque rousse ? Comment ça ? COMMENT CA NON ? Les terroristes disent tous ça vous savez ?

    Encore aujourd'hui,en lisière de la bien connue Forêt Interdite, on peut lire des dizaines de phrases gravées - que dis-je, carrément creusées - sur l'écorce d'un honorable vieux chêne. Soit elles ont été faites avec une épée laser, soit avec une baguette magique, visiblement (mais il a tout l'air de s'agir de la première solution). C'est qu'un soir, à la fin de l'été 2078, une jeune fille de notre connaissance se trouva très inspirée. Posant son autobiographie de Joe Brainard, I Remember, quelque part parmi les hautes herbes (depuis le début de la guerre, les jardins de Poudlard se délitaient peu à peu, en un abandon presque majestueux), elle s'avança tranquillement vers le fameux chêne. Elle savait tout, en ne le sachant pas, ce qu'elle s'apprêtait à faire ; mais après tout, cette indécision décidée, n'était-ce pas l'une des caractéristiques majeures d'Agathe Morrison ?


    août 2078.
    je me rappelle la musique
    je me rappelle rock'n'roll suicide, et puis ziggy, je me rappelle space oddity et aussi que de cendres on redevient des cendres
    (but where were the spiiideeeeers ?)
    je me rappelle les synthés implacables, je me rappelle les chanteurs suicidés
    et puis new order
    je me rappelle mon réveil, le vrai, je veux dire
    je me rappelle taylor, the crétinissime taylor
    son sourire crétinissime sur le quai de la gare quand on s'est revus - quand on s'est revus pour la première fois, après mon tibet et son pérou
    je me rappelle maman, je me rappelle papa, je ne me rappelle pas leurs prénoms et je crois ne jamais les avoir sus, mais taylor me soutient qu'ils en ont, "forcément"
    je me rappelle que taylor est toujours aussi crétin
    je me rappelle les yeux brillants de maman, les yeux brillants de papa, leur décision si spontanée de se remettre ensemble et de repartir courir le monde
    leur décision si conne
    je me rappelle les cons, tous, tous, tous, les hordes de cons
    je me rappelle ce con de choixpeau et ses connes de maisons
    comme si j'allais m'habiller en vert alors que mon frangin se pavane en bleu
    d'ailleurs le vert c'est pour les cons et surtout pour les bruns
    je me rappelle que je ressemblais à un saumon aux épinards avec mes foutus cheveux
    je me rappelle le monstre du lac, oui oui, je l'ai vu aussi
    je me rappelle si bien bigfoot
    et puis le sourire de ngawang, ébréché, bien sûr, c'était la seule à rire dans ce village de fous
    je me rappelle qu'on riait d'eux, eux qui ne voyaient pas bigfoot
    je me rappelle ces films français avec ces filles si françaises - à bout de souffle à bout de souffle à bout de souffle
    à en couper le souffle
    je me rappelle la guerre, la peur, le retour à poudlard
    je ne me rappelle plus mes parents
    je me rappelle ce que papa disait avant d'aller chasser le papillon
    la mort est notre plus bel art : même la souffrance nous rend service en faisant de nous des martyrs
    tout ça pour pouvoir clouer ses papillons sans états d'âme
    je me rappelle qu'il était un peu allumé
    mais pas autant que nous, jamais autant que nous
    jamais autant que moi
    je me rappelle que taylor m'a fait redevenir agathe, une vraie agathe
    je me rappelle aussi que les choses ne sont pas franchement redevenues comme avant - parfois, gath' me fait des caprices, elle se démarque d'aggie
    ce genre de choses
    je me rappelle les attitudes stupidement conquérantes du frangin stupidissime
    je me rappelle sa gueule quand je l'appelle "mon poisson" devant les filles
    je me rappelle sa façon de m'appeler agrippine
    je me rappelle ma suzy et la fabuleusement fabuleuse montgolfière
    je me rappelle que ce sont eux LES MEILLEURS

    je me rappelle les tangos nocturnes et la fumée des cigarillos
    du moins dans nos têtes, à taylor et à moi
    je me rappelle que cette guerre a du bon
    pouvoir écouter notre jazz en paix
    je me rappelle que peter pan n'avait pas tort
    les adultes ne savent plus voler.


    Le soir était rouge et projetait des ombres immenses. Agathe, écrasée sous le poids de la silhouette des arbres, battit en retraite jusqu'à la pelouse rassurante.
    Quand l'obscurité épaisse l'enveloppa et qu'il lui devint impossible de lire, elle songea qu'on devrait pouvoir se faire poser des verres de vision nocturne (bien plus utile que des implants mammaires non ? Qui s'est déjà servi de son 95 D pour bouquiner dans le noir ?).

    C'est alors qu'Agathe eut une illumination. Elle s'approcha de vous - oui, vous, pauvre lecteur fatigué. Elle en avait assez d'être épiée. Elle posa une perruque rousse, sortie d'on ne sait où, sur votre petite tête de voyeur. Avec une frange pour cacher vos petits yeux de voyeur. (Le but ? Bonne question, on y réfléchit.) Et puis, avant que vous ayez eu le temps de réagir, elle se tira plus vite que l'éclair en hurlant que vous étiez un "assassinateur d'arbres".

    Vous. Vous. Oui, vous, là. Le type en imper. C'est vous qui vous amusez à tagger les arbres du parc, planqué sous une perruque rousse ? (...)


Dernière édition par Agathe Morrison le Dim 30 Nov - 0:14, édité 2 fois
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Blabla

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MessageSujet: Re: don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.   don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. EmptyDim 30 Nov - 0:00

Fiche terminée, je crois (:
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Aisha Lauritsen
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♦ Administratrice ♦

Blabla

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MessageSujet: Re: don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.   don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. EmptyDim 30 Nov - 0:22



    superbe fiche I love you
    je crois que. kneazle serait un bon groupe pour toi.
    ça te va ? (:

    bon jeuu. Yup
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Mousse Lewis
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Mousse Lewis


Blabla

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MessageSujet: Re: don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.   don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. EmptyDim 30 Nov - 0:31

ça me va, of course (:
merchi bien.
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Blabla


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MessageSujet: Re: don't shoot me, i'm only the piano player. terminée.   don't shoot me, i'm only the piano player.  terminée. Empty

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