Felix Felicis
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Promis, si je mens, je vais en enfer.

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Blabla


Promis, si je mens, je vais en enfer. Vide
MessageSujet: Promis, si je mens, je vais en enfer.   Promis, si je mens, je vais en enfer. EmptySam 22 Nov - 17:58

    -Conquérir l’univers…

    Perçant les vaudous, espérant que quelque part quelqu’un était en train d’en souffrir. Ses coups étaient nets, bien mesurés, de telle façon que cela soit suffisamment efficace pour faire passer un mauvais quart d’heure à la victime.
    Pour toute réponse, elle soupira, quel ennui, quelle coutume, quelles habitudes, quel monotone, il n’y avait aucune victime et elle ne tenait l’âme de personne entre ses mains. De plus, les vaudous n’étaient pas bien amusantes, en plus d’être dépourvues de toute magie. Une arnaque, une plaisanterie, un truc de moldus, quoi… A se demander si ça ne devenait pas ridicule de se balader du côté de Basilisk avec une vaudou. Certains peut-être s’affoleraient. Aucune importance.
    Elle était en ce moment là, affalée dans ce fauteuil, comme si les malheurs du monde reposaient uniquement sur ses épaules, aiguilles et poupées en main.


    -Que veux-tu poupée… On doit bien vivre ainsi.

    Dit-elle s’adressant à la vaudou qu’elle avait mise face à elle. Elle la déposa ensuite sur l’accoudoir du fauteuil, ne lui laissant que très peu de temps pour glisser de ce dernier et terminer à terre.
    Braises se décomposaient dans le coin de l’âtre, noirci par le temps et la coutume des anciens résidents d’allumer un feu. En vérité, il ne faisait pas souvent chaud dans les sous-sols. Sans doute les ancêtres avaient-ils un goût prononcé pour le culte de l’alcool et des caves remplies de bouteilles.
    Enfin non, c’était sans doute autre chose, mais ce genre de fantaisies la distrayait plus que la seule raison pour laquelle les Serpentards aimaient être dans les sous-sols : pour représenter ce qu’ils étaient : la froideur, le côté « ténébreux » qui s’est transformé en « charmant » pour toutes les éméchées. Tout cela était fort ridicule, il lui arrivait souvent d’ailleurs de critiquer la maison dans laquelle elle avait résidé.


    - Des débiles…

    Cette dernière ne représentant à vrai dire rien sinon le plaisir de certains petits snobs de prétendre à la « cool attitude ».
    Désormais, cela était différent, et même si Poudlard ne ressemblait en rien à un endroit de calme, d’ordre, les imbéciles avaient su s’écarter du territoire et lui laisser un peu plus de place dans le dortoir.
    Et bien sûr, ce n’était pas pour lui déplaire. Même si rien n’était assez pour prétendre à lui plaire. Caprices, non, exigences, certainement.
    Un autre soupire sortit s’enfonçant plus encore dans ce fauteuil un peu trop moelleux à son goût. Il allait bien falloir qu’elle finisse par se lever, pourtant. Car même si elle n’avait aucune obligation, même si elle ne représentait pas grand-chose, aucun titre pour les Basiliks, même si personne ne l’attendait dehors ou même autre part, elle avait le besoin de se déplacer, de faire quelque chose, de s’activer à une tâche toute promise à son profil, son profil tout à fait haï de la plupart des jeunes personnes de cette école. Elle était Lisa Kane, la détestable Mademoiselle Kane, l’égoïste, un bourreau. Tout cela en dépit de son physique, un physique de jeune fille aux traits doux, paraissant agréable et amicale tant qu’on ne s’approchait pas de trop près et encore… En plus de paraître jeune, elle était réellement jeune, du haut de ses 16-17 ans, là où pas mal de personnes présentes qu’elle aimait harceler, étaient ses ainées. Légèrement et sans doute trop ambitieuse, trop sûre d’elle. En dépit de tout cela, en dépit de sa jeunesse, elle parvenait à dominer par son caractère et par ce besoin qu’elle avait d’imposer ses idées. Tyrannique. La taille n’avait plus son importance dans l’équation. Elle avait la volonté nécessaire, et elle ne craignait pas, pas encore. Adieu naïveté, à elle le fruit, à elle la grande richesse, le pouvoir. Que d’ambition pour un si petit être, sans doute trop mais elle ne voulait s’arrêter là. Elle voulait avoir son influence sur les autres, elle voulait que s’ils aillent mal ce fût par sa faute, et en fait par la leur. Ils n’auraient jamais dû faire signe de faiblesse, ils n’auraient jamais dû s’opposer à la seule décision qui devait être choisie, celle qui distanciait les moldus, celle qui nuisait, certes, mais qui était sans nul doute nécessaire. Et c’était bien pour cela qu’elle devait exercer son influence, parce qu’ils n’avaient pas compris, qu’ils devaient comprendre, ou qu’ils seraient trop tard pour eux. Les mesures radicales viendraient. Et bientôt la mort dépasseraient les frontières de Poudlard, la mort pour les idées s’empareraient de Poudlard.
    Vision apocalyptique et assez inattendue de la part de ce genre de gabarie, mais c’étaient bien là ses propres pensées, sa propre volonté, ses désirs.
    Elle avait fini par sortir de leur « recueil » le seul endroit où les Basiliks pouvaient complètement se penser à l’abri. Ceci dit, elle n’éprouvait pas ce besoin, exception faite quand le vacarme extérieur devenait insupportable. Ce qui arrivait encore régulièrement en ces lieux.
    Elle se trouvait alors dans les cachots, « hall » de leurs quartiers. Elle promenait ses jambes à l’intérieur de ces sous-sols, plus ou moins silencieux, dévoilant encore et toujours une puanteur légendaire, une froideur immortelle et une intimidation permanente. Elle pouvait de temps en temps croiser des visages connus, sans y montrer une grande attention. Après tout, tout le monde ne pouvait l’intéresser. Surtout s’il n’y avait là que quelques Basilisks à qui, faire la discussion, n’était pas intéressant. Sans doute, partageaient-ils la même idée, ou presque, en peut-être moins poussé, et n’éprouvaient-ils pas le désir d’aller offrir leur influence aux autres, ou pas de la même manière. Les Basilisks l’intéressaient en vérité fort rarement, et s’ils l’intéressaient, c’était qu’elle avait quelque chose à partager avec eux.
    Mais seuls quelques exemplaires en faisaient partie, et bien sûr, elle n’ avait pas encore fait la connaissance de chacun d’eux. Mais ça ne saurait plus tarder. Et cette idée, l’enchantait, ou presque.
    L’eau ruisselait par endroit, la puanteur ne cessait, elle errait dans des endroits qu’elle connaissait fort bien puisqu’elle les parcourait bien souvent, ne craignant pas de fort s’enfoncer. Rien à voir avec de la témérité, le manque d’habitude de remonter suffisamment à la surface lui forgeait une carte pour le domaine des Elysées de Poudlard.
    Quand un jeune garçon un peu plus jeune, il semblait vint à elle sans le moindre souci d’y trouver problème, Lisa le dévisagea.


    - Qui t’es toi ?

    -Appelle-moi Mademoiselle Kane, jeune effronté. N’as-tu pas honte de troubler ma promenade ?

    -T’es des Basilisks ?

    -Il est possible en effet que je côtoie ces individus. Tu ne t’es toujours pas excusé. Et vouvoie quand tu t’adresses à une demoiselle de ma condition.

    Elle observa le plafond humide comme pour marquer son indignation. N’y avait-il que des barbares dans cette « école » ?

    -Mademoiselle Kane, je suis avec vous.

    -Oui…C’est cela, avec moi…Sans doute.

    Répondit-elle légèrement absente.

    -Que fais-tu encore là ?

    Le jeune garçon n’avait pas encore disparu. Lisa posa une main sur son buste et poussa dessus pour qu’il recule, au lieu de cela, il trébucha.

    -Tu n’es pas bien agile.

    -Pardonnez-moi.

    Il avait l’air désormais légèrement intimidé et il avait baissé le ton de sa voix. C’était un peu facile de s’imposer sur un jeune garçon mais le but initial était d’être enfin tranquille et débarrassée de lui. Un sourire au coin des lèvres, elle s’écarta de lui.

    -C’est promis…

    Lui permettant alors de continuer son chemin.
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Angélique Evigan
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Angélique Evigan


Blabla

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MessageSujet: Re: Promis, si je mens, je vais en enfer.   Promis, si je mens, je vais en enfer. EmptyMar 25 Nov - 12:41

Promis, si je mens, je vais en enfer. Em11kq1
Oui je suis gentille… et bien plus encore…


Elle lui avait bien cloué le bec à cet idiot. Fière d’elle la petite Unicorn. Il l’avait amplement mérité. Un autre de ses abrutis qui pense que parce que Angélique est mimi et Unicorn, c’est qu’elle est forcément niaise et gentille. Erreur ! Il suffisait de voir le chef des Unicorns pour s’en rendre compte, derrière son jolie minois, son petit visage d’ange, se dessinait l’ambition, la détermination et généralement les habitant de Poudlard avait appris à ne pas trop taquiner Evigan, mais visiblement certain n’y croyait pas trop. Pour eux, Unicorn = niais et gentil, donc facile à manipuler. Au début Angélique s’amusait beaucoup à les moucher un par un, mais ça commençait à devenir fatiguant. Ils étaient peu nombreux à venir la chercher maintenant, la plupart d’entre eux était des Basilisks, bien entendu, ils sont tellement arrogants et fiers, ils se sont montés tellement haut sur leur piédestal, qu’ils n’arrivent plus très bien à voir ce qui se passe sur terre. De la pitié, Angélique en éprouve un peu, c’est vrai. Mais ce n’est pas pour ça qu’elle allait se laisser faire. Elle était pleine de ressources et c’est une véritable félicité de leur rappeler que si les Unicorns sont toujours là, c’est qu’ils ne sont pas si faible que certain aime le croire. Ça doit les rassurer de penser qu’ils sont faibles et branlant, ainsi leur médiocrité doit leur paraitre moins lourde à porter. Vous l’aurez facilement compris Angélique n’est pas qu’une gentille petite Unicorn, à vrai dire cette partie d’elle ne se dévoile qu’avec ses amis, car sinon c’est une véritable tigresse, qui ne montre aucun signe de faiblesse. Elle possède une impressionnante force de caractère. Ne pas être remplit de haine ne signifie pas être faible, bien au contraire. Si elle le souhaitait elle aurait pu mettre du plomb dans l’aile des Basiliks, elle connaissait le lourd secret d’Hadrien. Leur chef soit disant intouchable, belle rigolade, la plus grande faiblesse est certainement de se croire au-dessus de tout. Au-dessus de tous sentiments… Angélique elle-même savait qu’elle était loin d’être indémontable, elle se contentait juste de cacher le mieux possible ses failles.

Relativement remonté Angélique erre dans les couloirs de Poudlard. Se concentrant sur le bruit de son jean qui se froisser à chaque mouvements de jambes. Ce bruit régulier l’aider à réfléchir. L’atmosphère était humide, elle sentit même une gouttelette d’eau lui tomber sur l’épaule. Ce qui la tira de ses songes. Les cachots, elle en avait fait du chemin. Si à l’étage supérieur elle avait chaud en débardeur blanc ici c’était une autre affaire. Elle détacha ses jolies boucles blondes espérant qu’elle lui recouvre un peu les épaules puis elle continua sa marche, de toute façon, elle n’était pas très frileuse. A chaque fois qu’elle croisait quelqu’un, elle sentait des regards noirs se poser sur elle, ici la plupart des élèves étaient des basiliks. Mais dès qu’Angélique levait un peu plus la tête ses regards s’éteignaient aussitôt … bande de trouillards… Assumez donc… ça lui rappela sa première visite dans les cachots, chaque personne qu’elle croisait la bousculait sans ménagement, au bout de la troisième fois, Angélique le pointa de sa baguette et réclama des excuses ainsi que le respect qu’elle méritait comme tout le monde. On l’avait plus ou moins laissé tranquille, mais elle avait sans cesse besoin de rappeler qu’elle méritait un minimum de respect et qu’elle était avant d’être la chef du clan des Unicorns, une personne vivante à part entière. C’était assez marrant de voir comment les Basiliks pouvaient réagir quand Angélique feignait de leur faire les yeux doux, avec un petit mouvement de lèvres. C’était même très amusant. Si quelques uns esquissait une mine de dégoûts avec une légère rougeur sur les joues, d’autre étaient plus gêné qu’en colère. Je vous rassure tout de suite Angélique n’est pas le genre de fille à allumer tout ce qui passe. Bien au contraire, d’ailleurs elle tente cette expérience que très rarement et c’est tellement amusant, que personne ne peut lui en vouloir.

Angélique reprit ses esprits et se concentra sur ce qui l’entourait. La tête haute elle regarda autour d’elle et aperçu juste en face d’elle Lisa Kane. Angélique ne perdit rien de son assurance mais sentit comme quelque chose se briser en elle. Ce quelque chose elle le ressentait à chaque fois qu’elle voyait cette fille. En apparence c’était quelqu’un de banal, une fille parmi tant d’autre, en se renseignant un peu on apprend que c’est une sacrée Basiliks, mais pour Angélique, ça allait bien au-delà de tout ça… Elle passait son temps avec Sacha Cole, celui qui habitait Angélique, celui qu’elle aimait si fort, le seul qui n’avait jamais compté pour elle et qui la snobait complètement aujourd’hui, sans qu’elle sache pourquoi. Il avait changé, il faisait parti de ceux qui haïssent les moldus, de ceux qui haïssent ceux qui défendent les moldus, de ceux qui haïssent Angélique Evigan. Et cette fille Lisa Kane passe pas mal de temps avec lui, trop de temps… elle connait le nouveau Sacha et se plait à me le jeter à la figure, elle a remarqué qu’il ne m’était pas indifférent, mais sait-elle seulement à quel point je l’aime…

Angélique ralentit, son regard croise celui de Lisa, les deux jeunes filles s’arrêtent face à face. Confrontation inévitable ? Seul l’avenir nous le dira, Angélique est partager entre l’envie de lui sauter au cou et celle de l’ignorait mais en attendant, elle ne fait rien à part la regardait dans les yeux, sans siller. Impossible de reculer, elles sont bien là, mais vont-elles en profiter pour cracher un peu plus de venin?
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MessageSujet: Re: Promis, si je mens, je vais en enfer.   Promis, si je mens, je vais en enfer. EmptySam 29 Nov - 20:48

    [Désolée pour la brieveté et le temps pris, je suis assez overbookée ces temps-ci sur tous les plans, j'espère que tu me pardonneras...^^"]

    Soudain, ses pas s’arrêtèrent et plus aucun pas ne se fit entendre. Qui se tenait-là ? Juste devant elle, du bout de ses jambettes de « mademoiselle je plais » ? Qui se tenait donc là avec un air froid, presque impassible avec pourtant un petit air de surprise ? Cette personne aurait pourtant dû s’attendre à la trouver là. Après tout, elles se trouvaient plus proche des Basilisks étant situés dans les sous-sols que des Unicorns quant à eux, situés deux étages plus haut. Et ce n’était pas n’importe qui, pas n’importe quel Unicorn, pas un insignifiant, non, que non, et à vrai dire, elle l’avait immédiatement reconnue. Non seulement car elles entretenaient à elles-deux une relation toute particulière, une affection tout à fait considérable, qu’elle-même adorait honorer. Mais en plus car elle était bien le leader de ses rangs. La leader des innocents, des gentils, des bons, des aimables, quoiqu’il en soit, la leader des Unicorns.
    Un léger sourire pour le moins innocent, lui aussi, comme les Unicorns, se dessina sur ses fins traits avant qu’elle ne la salue enfin. Il ne fallait pas trop la faire attendre, puis, il aurait été fort impoli de ne pas accueillir comme il se devait une telle personne lorsqu’elle pénétrait son domaine.


    -Eh bien…quelle surprise...! Et quel honneur de recevoir en ce lieu, le sommet de la chaine des aimables Unicorns…Vraiment Mademoiselle Evigan, je ne me serais jamais attendue à recevoir la visite de votre grande personne en mon humble domaine, c’est plutôt inhabituel, il faut le dire… N’allez surtout pas croire que vous êtes une indésirable, loin de là. Je suis votre hôte et vous êtes la mienne, c’est merveilleux.

    Nul sarcasme, nulle ironie dans son ton, dans ses propos, et c’était bien là que résidait d’ailleurs son talent, savoir dissimuler le plaisir de faire du mal, tout en le mettant cependant en évidence, mais pas grossièrement. Son humble domaine, comme elle venait elle-même de le dire délimitait les sous-sols, cachots, plus exactement, le domaine de son supérieur d’ailleurs. Supérieur, un terme assez peu couramment utilisé dans son langage. Mais à vrai dire, cela n’avait pas la moindre importance, ou du moins, pas pour elle. Tout comme Lisa n’éprouvait pas la moindre jalousie pour Hadrien Cromwell et ses adjoints, puisqu’ils avaient la charge de diriger l’amas de crétins sans cervelles qu’on pouvait trouver dans leurs rangs, aucune honte à l’avouer… Car évidemment, ce clan étant principalement fait de brutes sans aucun sens moral (de son point de vue) et sans aucune élégance (il est vrai qu’elle savait y faire, elle). C’était dire tout l’amour qu’elle éprouvait pour ses confrères, ses « égaux » si jamais elle avait pu penser un jour qu’elle avait un égal. Mais revenons-en à Angélique, tout à fait angélique qui se tenait devant elle. Douce et adorable personnalité pour tous ceux qui pensaient comme elle, et même plus. Elle était même un modèle d’après les quelques échos qu’elle avait entendus, entre autre, il fallait dire que beaucoup l’adulaient. A savoir pourquoi… Fallait-il encore citer tous ceux qu’elle avait pris sous son aile câline et rendu entichée ? Oh, bien sûr, Lisa ne pensait certainement pas, et ne penserait jamais, qu’elle aurait pu avoir la mauvaise idée de le faire exprès. Non, loin de là, elle était bien trop attentionnée pour que cela arrive. Angélique voulait juste le bien pour ses amis. Décidément, la vie de cette lovely sonnait bien trop juste. Tout allait probablement finir par s’effondrer un jour ou un autre, pas par sa faute, ou peut-être, ou juste un peu, mais tout était possible avec un être si sensible et possédant une si grande humilité. La vie était injuste, tellement injuste que la perfection avait perdu en grade pour ne plus réellement exister. Lisa, d’ailleurs, connaissait personnellement un point sur lequel la jeune femme devait être particulièrement sensible, touchée, et probablement déçue, de temps en temps. Le point « Cole », une connaissance en commun. Ce jeune homme qui était en vérité un de ses confrères devait accumuler les points pour décevoir la jeune fille. Cette dernière jeune fille que Lisa savait éperdue de ce dernier. Bien sûr, de son point de vue, Cole était charmant, plaisant, il avait tout pour lui. Mais, sans doute, les agissements de ce dernier ne devaient pas plaire à Angélique. Quant à ses choix, ou le plaisir que se donnait Lisa à tenter de la rendre jalouse, l’air de rien, tout cela catalysait de véritables déceptions pour cette pauvre « enfant ». La personne de Cole n’était-elle pas tout simplement détestable aux yeux de ses proches ? Lisa pensait qu’Angélique devait y réfléchir.


    -Et puis-je savoir quel est l’objet de votre charmante visite… ?
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