Felix Felicis
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Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.

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Natalia De Lampedusa
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Natalia De Lampedusa


Blabla

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MessageSujet: Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.   Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. EmptyLun 1 Déc - 22:29




Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. Nataliavsig4ro6







«

C'est une femme belle et de riche encolure,
Qui laisse dans son vin traîner sa chevelure.
Les griffes de l'amour, les poisons du tripot,
Tout glisse et tout s'émousse au granit de sa peau.

Elle rit à la Mort et nargue la Débauche,
Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,
Dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté
De ce corps ferme et droit la rude majesté.

Elle marche en déesse et repose en sultane;
Elle a dans le plaisir la foi mahométane,
Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins,
Elle appelle des yeux la race des humains.

Elle croit, elle sait, cette vierge inféconde
Et pourtant nécessaire à la marche du monde,
Que la beauté du corps est un sublime don
Qui de toute infamie arrache le pardon.

Elle ignore l'Enfer comme le Purgatoire,
Et quand l'heure viendra d'entrer dans la Nuit noire
Elle regardera la face de la Mort,
Ainsi qu'un nouveau-né, - sans haine et sans remords.


»




Dernière édition par Natalia De Lampedusa le Lun 1 Déc - 22:57, édité 1 fois
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Natalia De Lampedusa
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Natalia De Lampedusa


Blabla

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MessageSujet: Re: Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.   Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. EmptyLun 1 Déc - 22:37

      chapritre 1. la chute d'un ange.







    Natalia était âgée de six ans à cette époque, dans sa chambre, elle venait d'enfilée le maillot que son père lui avait offert, celui de son équipe de Quidditch préférée. Attachant ses cheveux en une queue de cheval, elle claqua la porte, puis descendit les escaliers à la hâte. Aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres, pour la première fois son père, allait lui apprendre à jouer. Elle l'avait tellement suppliée, que face au regard de son enfant, Enzo n'avait pas pu résister. Lorsqu'elle arriva dans la cuisine, il était en train de boire son café, le tanant au possible, ils se retrouvèrent en un temps minime, tout les deux, dans le grand jardin de la propriété des Lampedusa. Natalia avait en main, son petit balais, que son père lui avait offert une semaine auparavant pour son anniversaire, quand à lui, il avait également son propre balais dans ses mains. Le cour commença dans la joie et la bonne humeur. Natalia apprenait doucement, et en même temps, elle ne voulait pas apprendre trop vite, les moments d'intimités avec son géniteur étaient tellement rares, qu'elle voulait profitée de chaque secondes passées à ses côtés. Au bout d'une bonne heure, celle ci descendit de son petit balais, puis tapant dans la main de son père en signe de victoire, elle, plongea son regard dans le sien.

      THE QUEEN. - « Papa, fais moi un spectacle. »

    Encore une fois, ce qu'il faut retenir, c'est que face au visage d'ange de son unique enfant, l'héritier des De Lampedusa ne pouvait dire non. L'air fier, il empoigna son balais, déposant un baiser sur le front de sa fille, puis, prit de l'altitude. Il commença à virevolter doucement, prenant ses aises dans le ciel, puis commença à enchaîner quelques figures pour le plus grand plaisir de Natalia. Mais rien ne dure, et Natalia aurait du s'en douter. Alors que son père volait tranquillement, celui ci perdit le contrôle de son balais, se débattant durant quelques secondes avec celui-ci dans les airs, il finit par faire une chute d'au moins cinq mètres, devant les yeux apeurés de son enfant. Natalia, face à cela resta de marbre. Elle ne pouvait y croire, elle ne voulait pas y croire. Pendant quelques minutes encore, elle resta bien sagement assise la ou son père l'avait laisser, mais finalement, ne le voyant pas se relever, elle accoura à ses côté. Il était inanimé, sans vie, et ses paupières étaient fermés. Tremblant de peur, et sentant la culpabilité montée en elle, elle commença à le secouer, en murmant des supplications pour qu'il arrête et qu'il se réveille mais rien n'en fit. Il resta là, allongé, et mort. Les larmes commencèrent à couler sur les joues de la belle Natalia, et ses secousses se firent de plus en plus violente, elle ne pouvait pas croire que son modèle, son héros, celui-ci qui à ses yeux étaient invicible, ne l'était plus. Qu'il avait été battu par un stupide balais et que tout cela était de sa faute.

      THE QUEEN. - « Papa... Allez papa... Réveilles toi, c'est plus drôle... Papa... PAPAAAAAA ! »

    Elle finit par s'allonger à côté de lui, prenant sa main dans la sienne, et pleurant en silence. Je serais bien incapable de vous dire combien de temps, dura cette scène, mais elle fut interrompue par l'arrivée d'Angelica. La mère de Natalia. Celle-ci, avançait d'un pas serein, puis comprennant la situation, elle se mit bien vite à courir, et se jeta à genoux, auprès du corps sans vie de son mari. Ses yeux bleus s'emplirent de larmes, et un regard haineux se jeta sur Natalia.

      LA MARÂTRE. - « Natalia... Qu'est ce que tu lui as fait ? »
      THE QUEEN. - « Rien maman... Je te le jure. »
      LA MARÂTRE. - « Si tu ne lui avais pas tant implorer de voler avec aujourd'hui tout cela ne serait jamais arriver. C'est ta faute, c'est toi qui l'a tué... »
      THE QUEEN. - « Non... Ce sont les anges... »

    La mère de Natalia, très catholique, réagit violement aux paroles innocentes de sa fille, et lui donna une claque monumentale, surement la plus douloureuse que Natalia n'aura jamais eu a encaisser. Blessée et triste, elle se releva, et courut vers la maison, s'enfermant dans sa chambre et se jetant sur son lit. Ce matin, tout avait bien commencer, il faisait beau et elle passait un moment rien qu'avec son père, comme elle ne pouvait le faire que très rarement. Et a présent, il n'était pas encore midi, qu'il était mort, que sa mère la haïssait, et qu'elle se sentirait responsable de cela, jusqu'a la fin de sa vie. S'allongeant dans son lit, elle s'enveloppa dans sa couette, se blotissant contre son doudou, puis malgré le chagrin, et le fait qu'elle repassait tout ce qui venait de se passer, elle finit par trouver le sommeil.

    Ce jour avait signer la fin d'une vie, la fin d'une époque heureuse. A présent, et Natalia pourra le constater avec le temps, la vie n'était devenue qu'un enfer, comme si les anges la punissait déjà, avant sa propre mort. Avec son père, son enfance, son innocence, et ses rêves, étaient morts également. A présent ma queen, il faut aller de l'avant.
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Natalia De Lampedusa
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Natalia De Lampedusa


Blabla

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MessageSujet: Re: Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.   Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. EmptyLun 1 Déc - 22:45

      chapitre 2. la désillusion d'une vie.







      THE QUEEN. - « Embrasse moi. »
      THE PRINCE. - « Quoi ? »
      THE QUEEN. - « Embrasse moi. »

    Natalia, âgée de dix ans à présent, était en compagnie de James. C'était le seul ami qu'elle s'était fait depuis la mort de son père, et leur relation, était bien plus forte que celle d'une simple amitié. James était fou amoureux de Natalia, depuis la première fois ou ils s'étaient rencontrés grâce à leurs familles respectives. Et Natalia par la force des choses, avait finit elle aussi par tomber sous le charme du bel anglais. Pourtant, ils ne se l'étaient jamais avouer, et n'avait jamais rien laisser penser qu'ils seraient vouer à autre chose qu'a être amis. Assise sur un banc, à l'abri des regards des adultes qui étaient plus loins, elle s'amusait à enlever d'une fleurs, chacun de ses pétales, un à un. Passant une main dans sa chevelure brillante et bouclée, elle afficha un demi sourire sur ses lèvres, avant de poser son regard sur le jeune garçon. Il avait l'air tendu, et il ne l'avait toujours pas embrasser, ce qui est pour le moins étonnant, puisque d'ordinaire, il aurait sauter sur l'occasion. Se levant du banc, elle se plaça devant lui, puis posant sa main sur l'épaule de James, elle reprit la parole.

      THE QUEEN. - « Est ce que tout va bien ? »
      THE PRINCE. - « Hein ? Oh euh.. Oui. »
      THE QUEEN. - « Alors embrasse moi. »
      THE PRINCE. - « Je ne peux pas. »

    La réponse de son prince fut comme une claque pour la belle latine. Pourquoi est ce qu'il ne pouvait pas ? Il en avait envie, et elle aussi. Ils étaient amoureux depuis toujours, et leurs parents avaient toujours dit qu'ils finiraient par se marier, alors pourquoi nom de dieu, est ce qu'il ne pouvait pas l'embrasser ? L'impatience se fit sentir chez Natalia, et mécontente de ne pas avoir eu ce qu'elle souhaitait, elle jeta sa fleur, et commença a rebrousser chemin. Mais avant qu'elle n'est pu faire plus de trois pas, elle sentit la main de James la retenir. Se retournant doucement, elle fixa le jeune garçon, les larmes aux yeux. Il venait de lui refuser de lui donner de l'amour, une preuve d'affaction. Depuis la mort de son père, la belle latine s'était énormément renfermée sur elle, et seul James avait réussit à la faire se sentir en sécurité. Avec lui, elle avait fait tous les coups possible, avait fait toutes les bêtises, si bien, qu'en plus d'être son premier amour, il était également son meilleur ami. Et si, il n'avait vraiment pas eu envie de l'embrasser, il aurait du le faire, juste pour lui faire plaisir.

      THE PRINCE. - « Si je t'embrasse, je ne voudrais plus te quitter, et pourtant je dois le faire. Comprends moi Natalia, ce sera trop dur sans toi... »
      THE QUEEN. - « Mais de quoi tu parles ? On va aller à Poudlard ensemble, on ne se quittera jamais. »
      THE PRINCE. - « Non... Mes parents m'envoie à Salem, nous partons ce soir, et ils coupent tout contact avec l'Angleterre. Nous ne nous reverrons plus, et je ne veux pas. »
      THE QUEEN. - « Alors embrasse moi. »
      THE PRINCE. - « Pourquoi ? »
      THE QUEEN. - « Pour garder un souvenir de moi. »

    Puis ce fut ces mots, et avec hésitations, que James donna son premier baiser à natalia. Un petit bisou enfantin, mais c'est sûrement le plus beau qu'elle n'ai jamais eu la chance de recevoir. Se donnant la main, ils restèrent un long moment, l'un à côté de l'autre, sans prononcer le moindre mot. Elle n'arrivait pas à croire que les anges la punissait encore, qu'elle allait encore devoir essuyée la perte de quelqu'un, se reconstruire de nouveau. Sans son père, sans James. Bientôt le moment difficile des adieux se fit entendre, et ils durent se rendre en compagnie de leurs familles à la porte, pour un dernier adieu. Se serrant très fort, ils refusèrent de se lacher, ce qui agaça très vite la mère de Natalia qui la saisit sans douceur et la fit reculer de trois, quatre pas, l'arrachant à l'étreinte de James. Alors qu'elle se préparait à transplaner, elle entendit les dernières paroles de James.

      THE PRINCE. - « Je t'aime Natalia... »

    Le transplanage jusque leur demeure se fit en quelques secondes à peine. Alors que sa mère rentrait, elle resta un moment dehors, les yeux des le vide. A nouveau, elle avait été arrachée à quelqu'un qu'elle aimait. A nouveau, elle ne devrait que se contenter de son souvenir, sans l'avoir à ses côtés. Et le pire dans tout cela c'est qu'elle n'avait pas pu lui dire, qu'elle aussi, elle l'aimait.
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Natalia De Lampedusa
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Natalia De Lampedusa


Blabla

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MessageSujet: Re: Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.   Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. EmptyLun 1 Déc - 22:57

      chapitre trois. joyeux noël.







      LA MARÂTRE. - « Tiens toi droite. Nous ne nous trouvons pas n'importe où. »

    La seule réponse de Natalia fut un soupir. Encore une fois sa mère trouvait quelque chose à redire sur sa fille et sur tout ce qu'elle pouvait bien faire. La belle De Lampedusa en était arrivée à un point où elle se demandait même si elle respirait convenablement, ou s'il y avait une façon particulière de respirer dans la société ou elle se trouvait. Une société qui ne lui convennait pas du tout, au passage. Ce soir était le soir du réveillon, âgée de quatorze ans, la jeune femme avait quittée Poudlard, pour retourner dans son enfer, et bien sûr chez elle, Noël ne signifiait pas fête de famille, mais fête avec toute l'aristocratie bien ennuyante et detestée. Pour ce jour spécial, sa mère lui avait achetée une robe dans les tons roses. Elle était cintrée jusqu'au niveau de son bassin, puis, elle était volante et ce jusqu'au dessus de ses genoux. A ses pieds, elle avait des talons hauts, couleur or, ouverts et lacés au niveau de ses fines chevilles. Ses cheveux toujours bouclés tombait en une cascade unie sur ses épaule puisque jusqu'à la chute de ses reins. Maquillée légèrement, ce soir elle n'était pas reconnaissable. Si d'ordinaire elle était déjà très belle, ce soir, elle était simplement à couper le souffle. Pourtant, elle ne se sentait pas à son aise, ayant l'impression de porter un masque, avec tout cet artifice et toutes ces manières qui n'étaient pas les siennes d'ordinaire.

    Fin prête dans le hall d'entrée, sa mère venait de poser un châle noir sur ses épaules, et son sac était nonchalement posé sur son épaule droite. Le regard dans le vide, elle était comme ailleurs. Tout cela n'allait être qu'une très longue soirée, elle en était persuadée. La porte s'ouvra et alors que sa mère allait rejoindre ses amis, la queen, elle, s'afferait plutôt à trouver un serveur. Lorsque ce fut le cas, elle se servit un whisky pur feu, se mettant près d'une fenêtre, elle se laissa à comptempler la ville, plongée dans l'obscurité. Sirotant son verre, elle se laissa aller, à être pensive, en oubliant complètement le monde qui l'entourait. Seulement, cela ne dura que peu de temps, au grand desespoir de la belle De Lampedusa, que quelqu'un vint la rejoindre, et engagea une conversation.


      LE BOUFFON. - « Natalia De Lampedusa, quelle beauté éblouissante... Je suis retourné. »
      THE QUEEN. - « Travis Carlton, toujours aussi lourd. Comme quoi certaine chose ne change pas. »
      LE BOUFFON. - « La queen serait-elle de mauvaise humeur ? »
      THE QUEEN. - « Elle l'est toujours en ta présence. »

    Un dernier regard, puis Natalia s'en alla, son verre à la main. Ennuyée par cette fête qui venait de commencée depuis quelques minutes à peine, elle se mit à vagabonder dans la salle, sans savoir vraiment ce qu'elle recherchait. La seule chose positive c'est que peu de personne de Poudlard était du même statut social qu'elle et qu'elle ne croisait donc que très peu, ce qui était une très bonne chose pour De Lampedusa. Alors qu'elle continuait sa quête de l'inconnu, elle vit sa mère lui faire signe, et ce fut à contre coeur qu'elle décida d'aller la rejoindre. De toute façon, elle n'avait pas vraiment le choix, il fallait toujours faire comme sa mère l'avait décidée et encore plus dans ce contexte. Elle s'approcha doucement de sa mère, finissant son verre juste avant, elle le posa quelque part, avant de prendre place à côté de sa génitrice.

      LA MARÂTRE. - « Natalia, ma chérie... Viens j'ai une grande nouvelle à t'annoncer. »
      THE QUEEN. - « Ah... J'ai hâte. Serveur, une coupe s'il vous plait. »LA MARÂTRE. - « Très bien. Je te présente Rachel Cohen. Tu connais son fils il va à Poudlard avec toi. »
      THE QUEEN. - « Oui... Je suppose, mais maman, je ne vois pas ou tu veux en venir. »

    Plus le temps passait, et plus Natalia vraignait le pire. Sirotant avec désinvolture sa coupe, elle porta un regard peu interessé à la fameuse Rachel Cohen qui semblait tout aussi excitée que sa propre mère. Soupirant, elle finit sa coupe de champagne, et la posa sur la petite table qui se trouvait devant elle.

      LA MARÂTRE. - « Et bien, grâce à Mme Cohen et moi-même, Elie et toi êtes à présent... Fiancés ! »
      THE QUEEN. - « Pardon ? »
      LA MARÂTRE. - « Tu as très bien entendu Natalia. »
      THE QUEEN. - « Et c'est bien ça le problème. »

    Se levant à la hâte, elle jeta un regard noir à sa mère et ne porta aucun intérêt à Rachel Cohen, puis partit d'un pas pressé, allant à l'autre bout de la pièce. Se postant une nouvelle fois près d'une fenêtre, accompagnée une nouvelle fois d'un whisky pur feu. Son moment de sérénité, ne dura encore que quelques minutes, pour son plus grand malheur, c'était à présent, Mme Cohen qui s'avançait près d'elle, en compagnie de celui qui devait apparement être son fils. Soupirant de lassitude, Natalia vida son verre, avant d'afficha un sourire arrogant et menaçant sur ses lèvres.

      LE TYRAN. - « Natalia, je te présente mon fils, Elie. »
      THE QUEEN. - « Je m'en fiche. »
      LE TYRAN. - « Ecoute Natalia... Je sais que tu aimes ta famille, telle qu'elle est. Ta mère et toi êtes très liées et unies, mais la fusion de nos deux familles, ne pourra que resserer et agrandir ces liens. »
      THE QUEEN. - « Vous vous foutez de moi ? Une famille unie ?! »

    Ce fut comme la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Levant les yeux au ciel, elle abandonna Rachel et Elie Cohen sans le moindre ménagement, et se dirigea droit vers la sortie. Sa traversée en ligne droite de la salle, le regard noir, le regard embué de larmes n'avait échappé à personne dans la salle, et encore moins à sa mère. Celle-ci se précipita à la poursuite de sa fille qu'elle finit par rattraper. Lorsqu'elle força Natalia à se retourner et à lui faire face, celle-ci éclata en sanglots. Tout le monde retenait son souffle pour entendre la conversation stridente qui allait avoir lieux entre la mère et la fille De Lampedusa.

      LA MARÂTRE. - « Natalia Angélica Maria Estalla De Lampedusa. Tu restes ici. »
      THE QUEEN. - « Non. Tu vois notre famille si unie, je ne la vois pas comme ça et j'en ai assez de faire semblant, donc je me retire, c'est finit. »
      LA MARÂTRE. - « Mais qu'est ce que tu dis nous sommes unies. »
      THE QUEEN. - « Vraiment ? Quand ? Quand tu m'as reprochée la mort de papa ? Ou bien encore quand tu ne fais que me critiquer ? Ou bien quand tu pars sans prévenir et que tu ne réaparaît que plusieurs mois plus tard, avec à chaque fois un nouvel homme dans ta vie, et que moi je finit chez les Clash, ou bien chez les Hamilton, parce que je ne sais pas ou est passer ma mère. »
      LA MARÂTRE. - « Mais... »
      THE QUEEN. - « Alors oui, tu as raison, nous sommes très unies. Au fait... Joyeux noël. »

    Quand la queen parle, elle dit tout ce qu'elle a sur le coeur.
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Angélique Evigan
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Angélique Evigan


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MessageSujet: Re: Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.   Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. EmptyMar 2 Déc - 10:30

Bienvenue, très jolie fiche, ce fut un plaisir de te relire ^^

Je mettrais bien Natalia dans le clan des Kneazles à moins que tu préfères être un peu plus engagé Veela ou Unicorn.
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Natalia De Lampedusa
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Natalia De Lampedusa


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MessageSujet: Re: Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.   Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. EmptyMer 3 Déc - 0:34

    Merci pour la fiche, et va pour les kneazles =)
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Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. Vide
MessageSujet: Re: Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée.   Il avait cueilli sans peine, son âme légère de poupée. Empty

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