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Sujet: Annette H. Oxford , Libertine. Mer 17 Déc - 10:12
Questions de Hors-Jeu Prénom - Emmy Age - 18 Comment avez-vous trouvé le forum ? Sur un top site Commentaires sur le design, l'intrigue, ect. - MA-GNI-FI-QUE ! et intrigue pour le moins original et plutôt echerchée, cela change du reste. Et je pense ne pas être déçu pa la suite. Présence sur le forum - pas autant que je le souhaiterais du moins pour le moment peut être plus pendant les vacances. Avatar désiré - Mylène Farmer Code du réglement - Nobody is perfect, I' m Nobody
Dernière édition par Annette H. Oxford le Lun 22 Déc - 14:03, édité 2 fois
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Sujet: Re: Annette H. Oxford , Libertine. Dim 21 Déc - 20:16
Cendre de lune, petite bulle d'écume Poussée par le vent je brûle et je m'enrhume Entre mes dunes, reposent mes infortunes C'est nue que j'apprends la vertu
Je je, suis libertine Je suis une catin Je je, suis si fragile Qu'on me tienne la main
Fendre la lune, baisers d'épine et de plume Bercée par un petit vent je déambule La vie est triste comme un verre de grenadine Aimer c'est pleurer quand on s'incline
Je je, suis libertine Je suis une catin Je je, suis si fragile Qu'on me tienne la main
Quand sur ton corps je m'endors, je m'évapore Bébé tu dors, et moi j'attends l'aurore Quand de mes lèvres tu t'enlèves, Un goût amer me rappelle que je suis au ciel
Cendre de lune, petite bulle d'écume Perdue dans le vent je brûle et je m'enrhume Mon corps a peur, la peau mouillée j'ai plus d'âme Papa, ils ont violé mon cœur
Je je, suis libertine Je suis une catin Je je, suis si fragile Qu'on me tienne la main
Le bruit assourdissant de la musique mettait la jeune fille en transe. Elle regardait autour d’elle un sourire sur les lèvres elle admirait ses amis se livrait à l’épicurisme et au libertinage. Elle se leva et se joignit à eux. La nuit se passa comme toutes ses autres soirées, c’est-à-dire dans la débauche et dans la luxure. Le lendemain la jeune fille se réveilla dans sa chambre. Allongée sur son lit à moitié nue, Une simple robe de chambre l’enveloppait.
« Annette ! Lève toi ! »
La voix de sa mère venait de retentir dans ses oreilles elle parvenait du rez-de-chaussée. La jeune fille se redressa sur son lit, ses cheveux de feu ébouriffé tout autour d’elle. Elle enfila ses chaussons et descendit les marches en direction de la cuisine.
« Enfin j’ai faillit attendre. »
La jeune fille se contenta de lui lancer un large sourire. Elle se retourna mais ne vit pas son père.
LIBERTINE « Où est papa ? »
Sa mère stoppa soudain ce qu’elle était entrain de faire. Elle se retourna vers sa fille et lui dit alors.
« Hier ton père travailler tard au ministère et des extrémiste anti moldu sont venu lui rendre visite, il l’on convaincu de rejoindre leur rang. Et maintenant il ne reviendra plus. »
LIBERTINE « Mais pourquoi ? »
« Et bien tu sais que je suis moldue et que toi tu es de sang mêlée. Ton père à fait ça pour nous protéger, il nous enverra peut-être quelque lettre… »
LIBERTINE « Mais pourquoi les a-t-il rejoint ?! »
« Je te l’ai dit pour nous protéger soit ils nous tuaient soit il regagnait leur rang. »
Sans un mot, la jeune fille reparti dans sa chambre. Elle en voulait à son père, même si elle savait qu’il faisait sa pour leur bien. Mais elle promit à sa mère qu’elle ne se mêlerait pas des histoires de guerre. La jeune fille tient toujours ses promesses surtout celle qu’elle fait à sa mère.
Les vacances s’écoulèrent et la rentrée arriva. Elle parti à la gare prendre le train, sans sa mère, comme à l’habitude. Elle était vêtue d’une robe blanche légère et d’un petit gilet. Des regards se posaient sur elle. Elle jeta ses cheveux en arrière lâchant de large sourire aguicheur aux autres. Puis soudain elle disparut dans la voie neuf trois quart où cette fois-ci des regards jaloux de posait sur elle surtout les demoiselles. Elle jeta son dévolu sur les garçons qui les accompagnés, ils fondirent presque sur son passage. Certaines filles la soupçonnait d’être une vélane et d’autre d’être une vampire, mais pourtant elle était tout se qu’il y a de plus humain. Elle était juste irrésistible et le fait qu’elle était libertine et à la fois mystérieuse en fascinait plus d’un. Créant la jalousie, la haine et le mépris des autres filles envers elle.
Elle montant dans le train qui la menait aux château ou plutôt ce qui restait du château. Là bas elle y retrouverait ses autres amis, les seuls sorciers du château qui savent que son père à rejoint les rangs du mal et qu’elle est de sang mêlée. Et ce petit groupe de jeune sorcier vivent leur vie comme si de rien était. Bien sur ils savent se battre et si ils doivent défendre l’un d’eux où quelqu’un en difficulté, ils sont prés mais en attendant ce la, la guerre leur importe peu, surtout à la jeune fille mêmes si parfois elle aimerait bien transformer un de ses stupides extrémiste en poussière.
Hé Mec Ton regard oblique En rien n'est lubrique Ta maman t'a trop fessê Ton goût tu revers N'a rien de pervers Et ton bébé n'est pas faché
Ton kamasutra A bien cent ans d'âge Mon Dieu que c'est démodé Le nec plus ultra En ce paysage C'est d'aimer les deux cotés
Ta majesté Jamais ne te déplaces Sans ton petit oreiller A jamais je suis Ton unique classe Tout n'est que prix à payer
Tu fais Ah des Oh Derrière ton ouvrage Quand mon petit pantalon Debout et de dos Sans perdre courage Dénude tes obsessions
Tu t'entêtes à te foutre de tout Mais pourvu qu'elles soient douces D'un poète tu n'as que la lune en tête De mes rondeurs tu es K.O. Tu t'entêtes à te foutre de tout Mais pourvu qu'elles soient douces D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête"... Tout est beau si c'est "Vue de dos" OK
Prose ou poésie Tout n'est que prétexte Pas la peine de t'excuser Muse au égérie Mes petites fesses Ne cessent de t'inspirer
Je fais des Ah des Oh Jamais ne me lasse Par amour pour un toqué Ne faut-il pas que Jeunesse se passe A quoi bon se bousculer ? Tu t'entêtes à te foutre de tout..