« can't read my poker face » _ cartwight-uc

ALICE CONSTANCE O'LARRY-CARTWIGHT
Personnage élève

Informations essentielles

Nom : Cartwight. Mais ceci n'est pas le nom de mon père. C'est mon nom d'épouse, mon nom de jeune fille est O'Larry. Ce qui donne O'Larry-Cartwight, mais je préfère faire simple, donc ce sera Cartwight.
Prénom : Alice en prénom usuel, Constance pour le deuxième. Apparemment le même qu'une grand-mère qui venait juste de rendre l'âme. Je ne me plains pas, j'aurais put tomber sur Ginette ou Albertine.
Âge : Je viens de fêter mon dix-huitième anniversaire.
Cursus, options : Guérisseur.
Collège fréquenté : BeauxBâtons.
Caractère : Complexe ; Têtue ; Franche ; Handicapée pour l'expression de ses sentiments ; Maladroite ; Drôle ; Sarcastique ; Piquante ; Attachante ; Peste ; Paradoxale ; Rancunière ; Princesse de la Vengeance.
Baguette : Aussi complexe que son propriétaire. Ce sont les mots qu'à prononcé Ollivander avant de me tendre ma future baguette. Faite en bois de Lierre, qui symbolise le labyrinthe, de la recherche de l'individu et de l'errance de l'âme, elle contient un crin de licorne mâle qui, a ce qu'il paraît, était magnifique. La licorne représentant aussi l'innocence et symbolise la bonne fortune. Un drôle de mélange. Elle mesure vingt-trois centimètres et est très maniable. Très agréable à tenir et très bonne pour la métamorphose.
Patronus : Une loutre.
Epouvantard : Il y a tant de choses qui m'effraie. Mon père et son alcoolisme. Je suis presque sûre qu'il prendrait la forme de mon paternel, une bouteille à la main me hurlant que c'est de ma faute. Il y a aussi le temps qui passe. Le temps qu'on perd sans jamais pouvoir le rattraper. Une horloge qui tourne à une vitesse affolante, sans jamais s'arrêter. Mais c'est surtout le temps qui passe et les ravages qu'il entraîne. La vieillesse, la mort, la perte inévitable des êtres chers, le fait de ne pas avoir le temps de faire toute les choses que je souhait accomplir dans ma vie. Tellement de choses qui me font peur...

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crédit avatar : cherrylips

Informations Hors-Jeu

Pseudo : Hindy/M.
Âge : Dix-huit ans.
Avatar souhaité : Nina Dobrev.
Présence : Un petit tour tout les jours mais je posterais surtout le mercredi et le week-end (:.
Commentaires : Rahlàlà FF is baaaaack.

Dernière édition par Alice C. Cartwight le Jeu 13 Mai - 0:04, édité 2 fois

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Here I am, so try to forgive me, I don't believe in farytales.

Elle tournait et se retournait dans ses draps de soie sans jamais réussir à trouver une bonne position pour s’endormir. Tant de choses tourbillonnaient dans sa tête, si bien qu’elle avait l’impression que cette dernière allait exploser. La rentrée qui pointait le bout de son nez à grand pas, les problèmes de son père, les tensions de plus en plus pesantes entre son mari et elle, tant de choses qui allaient mal et pourtant elle réussissait à garder le sourire, à défaut de trouver le sommeil.

Elle se tourna une énième fois, faisant ainsi face à son époux qui lui n’avait pas aucun problème pour rejoindre les bras de Morphée. Elle l’enviait certaines fois d’avoir autant de détachement dans certaines situations. Elle l’aimait, le détestait à la fois, l’enviait et l’admirait. Tant de sentiments qui se bataillait. Mais par-dessus tout elle l’aimait. Du moins elle essayait de se le convaincre.

Depuis son plus jeune âge Alice avait été promise à son cousin Tristàn, lui aussi sorcier aristocrate bien que de sang-mêlé, tout comme elle. Leurs parents espéraient créer une toute nouvelle lignée de sorciers aristocrates qui domineraient le monde sorcier mais aussi des moldus. Ils avaient un avantage par rapport au lignée de sang pur, ils pouvait jouer sur les deux tableaux. Depuis son enfance donc on lui répétait que lors de sa majorité elle se marierait avec lui. Au début cela ne l’avait pas gênée car elle pensait que c’était pareil pour les autres petites filles, que tout le monde avait un mari depuis la naissance, choisit par les parents et il n’y avait pas à revenir sur le sujet. Mais Alice grandit et petit à petit, dans son école de BeauxBâtons, elle se rendit compte que le monde n’était pas ainsi fait. Les filles n’étaient pas obligatoirement fiancées avant même de naître et pouvaient sortir avec le garçon de leurs rêves, tomber amoureuse et vivre un merveilleux conte de fées. Et elle ne se fit pas prier. Elle tomba amoureuse du garçon le plus populaire de l’école et pendant quelques temps ils sortirent ensemble, filant le parfait amour. Enfin vint le jour fatidique, le soir de la première fois. Tout se passa merveilleusement bien, c’était douloureux mais agréable à la fois et Alice s’endormit dans ces bras. Le lendemain il était partit. Sans un mot, comme un voleur et le cœur de la belle se brisa à l’instant même où elle compris que son beau prince charmant n’était en fait qu’un salaud qui l’avait prise pour un coup d’un soir. Et après ce petit pas de travers, elle revint à la maison, prête à épouser son cousin et se promettant de l’aimer comme elle aurait dû le faire dès le début.

Lunatique ? Qui a dit lunatique ?

Grâce aux rayons argentés de la lune, elle pouvait distinguer son visage dans la nuit et elle se rendit compte qu’il n’avait jamais été aussi beau qu’à cet instant, sans son regard bleuté dédaignant posé sur elle ou bien sans un soupir s’échappant de sa bouche. Elle se concentra alors sur sa respiration calme et régulière et bercée par ce simple souffle, elle ferma les yeux et commença à doucement sombrer dans les limbes du sommeil.

Blabla