~~William Happiness - La pluie qui tombe est encore la même

Présentation William Happiness

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Il faisait bien sombre, mais à vrai dire ce n’était pas bien différent des autres jours. Pour une période d’été le ciel était couvert de nuage gris qui semblait menaçant mais jamais il ne tombait une seule goutte de pluie. L’immense rue se poursuivait, des maisons sombres, toute identique jusqu’au bout dont on ne voyait pas la fin. Il n’y avait personne et c’était comme cela depuis que la guerre avait commencé. Les voisins fuyaient leurs voisins de peur qu’il soit sorcier car nombreux étaient les moldus qui avaient peur des sorciers dans ce quartier. Quand l’on n’est capable de rien il est difficile d’imaginer faire face à une personne pouvant vous transformer en rat des qu’il le voulait, et en même temps le quartier était plutôt habité par des personnes assez âgés ce désintéressant assez de cette guerre mais ne pouvait pas fuir la peur.
D’une des centaines de maison blanche sorti alors un petit garçon pas plus âgé que douze ans il porté de ces deux bras une cage presqu’aussi grosse que lui contenant une belle chouette blanche et il en était fier, ce qui le rendait surtout fier c’était d’appartenir à une famille de sorcier il s’appelait Théo. Enfin en se jour ce n’était plus vraiment une chance.

«Je suis arrivé par l’un des angles de rue. Le jeune garçon se tenait la face à eux, il avait l’air effrayé et il l’était »

« Eux » il s’agissait de la bande de mauvais gars qui trainait souvent cette rue. Ce n’était que de simple être humain et depuis le début de la guerre ils criaient haut et fort qu’ils détruiraient les sorciers qu’ils croiseraient. C’était bien évidement le genre de personne à qui l’on évitait de parler lorsque l’on était d’une nature calme et sérieuse.
« Eux » ils encerclaient le jeune garçon, certainement avaient-ils compris qu’il s’agissait d’un jeune sorcier à la vue de sa chouette et quoi de mieux que d’être à dix sur un jeune garçon. C’était un garçon qui allait commencer sa deuxième année, il étudiait dans une prestigieuse école du nord du pays. Il était terrorisait face à ses ennemis et ne pouvait rien faire, les lois l’interdisait d’utiliser la magie en dehors de l’école et même s’il le pouvait, il n’avait pas sa baguette entre les mains. L’un des grands poussa alors le frêle blondinet qui lâcha sa cage sous le choc avant de tomber sur le sol. L’un des grands le pris alors pour le relever mais ce n’était pas pour lui porter secours mais bien au contraire pour essayer le frapper mais il fut arrêté par une voix plus grave qui venait de quelques mètre de lui.

«"Et ca vous amuse ?" Ai-je dit»

C’était un jeune homme, le plus âgés de tous il avait dix neuf ans et s’appelait William Happiness. C’était un élève brillant ayant quitté l’école de la magie après avoir réussi avec perfection ses sept années d’étude et il avait depuis le début de la guerre intégré une école moldus ou il s’y sentait à l’aise. Il avait un secret, celui d’être un sorcier. Il trouvait les actes des gamins lamentable mais visiblement son interruption n’eut pas réussi à faire taire les gorilles bien au contraire, l’un d’entre eux s’approcha de lui un couteau à la main et fixa le jeune homme aux regards bleu céleste.
Son regard était impassible et glacial, il se contenta de faire glisser sa longue baguette le long de sa manche pour la pointer sur le cou de son adversaire qui lâcha son couteau sous la peur pour commencer à le supplier c’était assez nul pour un adolescent voulant tuer chaque sorcier présent sur cette planète. Mais que pouvait-il faire d’autre ? Les tensions ne faisaient seulement que monter et tout commença à basculer.

«L’un d’entre eux est ensuite arrivé derrière moi, je ne l’avais pas vu, mas je fus assez surpris et son étreinte m’empêcher tout mouvement et…»

Il sorti de nulle part, il n’était pas la avant était arrivé derrière William pour l’empêcher de bouger. Ce qui permit à celui qui lui faisait face de rependre son couteau pour le passé sous la gorge du jeune brun tendis que ses autres amis continuait à frapper le plus jeune. Tout commença alors à s’accélérer, en un coup de pied William pu se dégager de la brute et lança un sort contre celui qui se trouvait face à lui pour l’écarter de sa route. Il courra en direction des autres et brandit sa baguette dans leur direction pour lancer un nouveau sort pour les écarter mais c’était trop tard. Les jeunes bons à riens furent repousser mais ce qu’il y avait au centre n’était plus. Le jeune garçon venait d’être tailladé par la gorge par l’un d’entre eux, l’un de ceux qui fuyait tandis que William plongea les genoux à terre, le gens plongeant dans le sang, tendis que les autres garçons prenaient la fuite.

«J’aurai pu faire quelque chose…»

C’était il y a six mois et maintenant c’est bien pire. William vivait à Newcastle, dans le nord de l’Angleterre c’était près de cette ville qu’il avait fait ses études de magies, c’était un élève doué, qui étudié maintenant dans une école de gens « normaux ». Comme un certain groupe, il n’était pas un partisan de la guerre et à vrai dire il ne saurait pas où mettre sa place. Sa réalité de magicien, il l’a gardé pour lui seul et d’ailleurs, il n’avait personne à qui l’apprendre bien trop timide et réservé pour se faire des amis et il n’en voyait pas non plus l’utilité. Sa vie était assez monotone, les cours, les devoirs, sa maison ou il vivait seul accompagné d’un jeune et jolie chien qu’il avait depuis trois moi, il s’appelait Théo. Enfin de compte, non William avait tout de même un ami, Théo. C’était le seul être avec qui il ne se tenait pas froidement bien au contraire, avec lui il était tendre et amusait. Certainement aussi parce qu’il s’agissait du seul être qui lui portait un véritable intérêt.
La télévision, William ne la regardais plus il en avait plus qu’assez t’entendre parler des nouveaux exploits de magicien que l’on pouvait observer et en réalité il se moquait finalement de tout sauf de ce qui tournait autour de lui. Il se consacré à un art : L’écriture. Bien qu’il n’écrivait pas spécialement bien, il aimait se tenir devant sa fenêtre à écrire. Laissant souvent cette fenêtre ouverte pour que le vent puisse entrer par la pour venir caresser son corps mince et claire et ses courts cheveux sombre.
Mais un soir, après les cours et une promenade avec Théo, du coin de la rue il observa au loin de ses grands yeux bleus des fumés noires qui montaient jusqu’au ciel, celle-ci provenait de la maison du jeune homme qui allait d’ici peu s’écrouler sous les flammes, les pompiers étaient déjà la. Il su par des témoins que les incendiaires étaient une bande de jeune adolescent d’une quinzaine d’année. Il s’agissait en effet de la jeune bande avec qui il avait eu à faire quelques mois au part avant, c’était certainement devenu une histoire de vengeance de la part des adolescents.
A ce moment la, le cœur de William était emplie de haine, il battait si fort dans sa poitrine. Il venait de tout perdre. Que faire à présent ?

Les nuits qui suivirent, il les passé dans un petit motel perdue au bord de la route, c’était le seul endroit du coin ou le petit berger allemand pouvait entrer. Les jours devenaient pour William Happiness aussi sombre que les nuits. Sa vie était aussi vide que lui. Son esprit aussi froid que son corps de glace.
C’était une nuit noir et glaciale. Dehors il pleuvait des cordes, celle-ci s’abbatiat avec furie contre les vitres qui tremblait à chaque coup. Allongé dans son lit, n’arrivant pas à trouver le sommeil parmi les nuages qui grondait, un petit couinement se fit entendre, et une lettre se glissa sous la porte de la chambre. Plus qu’intriguait, le timide William hésita plus qu’un moment avant de se jeter sur cette mystérieuse lettre. La peur l’empêcha d’ouvrir la porte et sans doute savait-il qu’il n’y trouverait rien car il n’y avait personne. Il n’y avait pas de nom, pas la moindre ouverture ni trace de fermeture et pourtant il y avait quelque chose à l’intérieur. Théo, allongé sur le sol et un peu relevé leva la tête pour aboyer, comme incitant son maitre à ouvrir cette boite sans ouverture ni fermeture. A l’intérieur une lettre, semblait écrite à la main, mais il n’y avait pas non plus ici de signature.

" Vous devriez vous rendre à Poudlard, vous serez certainement mieux la bas.

Suivez votre chemin sans vous en éloigner."

Ce que se demandait le tranquille garçon c’était « qui » avait bien pu lui envoyé ceci ? Il aurait déjà fallut savoir qu’il était un sorcier et d’autant plus qu’il serait ici. Mais cette lettre disait vrai. Poudlard était devenu un refuge depuis quelques mois et c’était sans aucun doute qu’il serait mieux la bas.
Ce qui lui paraissait le plus étrange, c’était la seconde phrase, elle sonnait comme une mise en garde. Mais William n’y prêta pas attention sur le coup. Le lendemain il parti pour l’ancienne grande école. Où il sera bien vite accueillit sous des surprises…

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« C’est ainsi que je suis arrivé ici. Et que je vis parmi "mes semblables…" Ou plutôt seul parmi d’autres. Cela fait une année aujourd’hui, la pluie qui tombe est encore la même. »

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