| | we're better together. pv suzy. |  |
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Sonny P. Hanson ......
Blabla
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 | | Sujet: we're better together. pv suzy. Mar 30 Déc - 2:06 | |
| we're better together,
we're better together,
we're better together.
Sony leva les yeux vers le calendrier qui était accroché sur le mur en face de son lit. Un jour de plus qu’hier, mais il n'y avait pas de différence : ce jour sera toujours rythmé par la monotonie et la solitude. Qu’est-ce que cela pouvait bien changer ? Sonny était coincé ici et devait se résoudre à y rester jusqu’à ce que son fichu bras soit guéri. Comme chaque matin, il regarda la place vide dans le lit à droite. Il n’y avait pas de place vide, c'était lit simple, mais c’était obsessionnel : il devait vérifier si Maureen n’était pas revenu. Et c’était toujours la même déception : sa femme n’était pas là pour l’habituel baiser du matin, pour son habituel sourire du matin. Comme chaque matin, il scruta la pièce du regard. Il n’avait pas bougé de place : toujours à Poudlard, dans ce dortoir trop petit, dans ce dortoir trop humide. Toujours ici, trop seul. Il en prenait conscience chaque jour de plus en plus et chaque jour de plus en plus il en devenait fou. Il tournait en rond dans son quinze mètres carrés, comme un félin en cage, restant allongé sur son lit à écouter de la musique ou à lire le roman qu’il avait déjà lu une dizaine de fois.
Sonny claqua des doigts. La musique qui venait de commencer... C’était sa musique, celle qu’il écoutait avec Maureen. Love is the answer at least for most of the questions in my heart. Elle avait beau réveillé en lui ses pires démons, la mélodie l’apaisait et il continuait à claquer des doigts. It’s not always easy and sometimes life can be deceiving, I’ll tell you one thing. Sonny : « It’s always better when we’re together, yeah, we'll look at the stars when we're together » Cette chanson lui parlait tellement. Il se leva et sortit de sa chambre, laissant la musique derrière lui. La suite est trop optimiste, ou bien trop révélatrice de ce quoi il avait peur : I’d be under the impression I was somewhere in between with only tow, just me and you, not so many things we got to do… Il avait un sourire aux lèvres. C'était si rare. Il fermait les yeux et se voyait avec Maureen, lui tenant la main et courant vers un endroit où personne ne pourrait jamais les retrouver. Il loupa la marche et faillit tomber, mais il se rattrapa in extremis. Il ne pu que rire : le contraste était étonnant. Passer d’un monde idyllique à un cachot qui sent le renfermé, ça ruine tous vos rêves.
Il monta les marches qui menaient vers le hall d’entrée. Il était dans une étrange bonne humeur. Ses déboires avec Ashley étaient loin d’ici, sa solitude ne le tourmentait plus. C’était comme un moment extraordinaire, un sentiment de plénitude paradoxal au remarquable néant qui définissait si légitimement la vie de Sonny. Il souhaitait que ce moment subsiste toute la journée, au moins. Il regrettait déjà que celui-ci s’évanouisse dans quelques temps. Il flottait dans les airs, il défiait la gravité, se moquant de ceux qui le regardaient avec des yeux étonnés. Il vivait. C’était si rare qu’il en profitait. Il était tellement bien qu’il n’aurait pas été étonné d’entendre Maureen ou même de la voir devant lui.
Il n’avait pas fermé les yeux. Il n’avait rien fait. Mais elle était là. Il s’était arrêté de marcher. Était-ce possible ? Elle avait le même sourire, les mêmes yeux, le même rire. Elle avait la même démarche, les mêmes manières. We are better together, we are better together… Il s’approcha de la jeune fille. Non, il se sentait attirer, aimanter. Il voyait sa femme dans le visage de la jeune fille, visage qui se reflétait dans un miroir alors qu’elle était en pleine discussion avec une amie. Elle portait le bracelet bleu, qui signifiait qu’elles appartenaient toutes les deux à kneazle. Il ferma les yeux. Il était à quelques mètres de sa femme… Maureen.
Maureen : « Et puis les moldus ne devraient pas avoir accès à la magie, ils ne sont pas capables de vivre en paix sans, alors imagine avec ! S’ils ne sont pas sorciers, c’est bien pour une raison. Maintenant à cause d’eux, on est en guerre. C’était beaucoup mieux avant qu’ils ne sachent. »
Amie : « Oui, le chocolat c’est mieux déjà. »
Sonny ouvrit les yeux. Ce n’était pas Maureen. Elle n’aurait jamais du tenir de tels propos. Mais pourtant, tout en cette jeune fille lui rappelait Maureen, tout en cette jeune fille lui rappelait ce qui lui manquait : une présence réconfortante.
Sonny : « Vous croyez que les moldus sont les seuls responsables, c'est cela ? »
Toujours de dos, la jeune fille se retourna. Dieu qu’elle était belle. Dieu qu’elle ressemblait à Maureen. We're better together, we're better together...
Dernière édition par Sonny P. Hanson le Jeu 1 Jan - 16:02, édité 1 fois |
| | | | Gypsy Weatherley ......
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| | Sujet: Re: we're better together. pv suzy. Mar 30 Déc - 22:35 | |
| Allez su' un effort, on ouvre un oeil puis l'autre...aaaaaaaaaarg, trop de lumière, pas bon pour cerveau. Un autre essaie, ça va mieux. Yeux opérationnels chef. Maintenant détection des lieux par radar infrarouge...hum dortoir je dirai chef. Bien, maintenant mise en marche des moteurs, turbine à plein régime et on essaye de se lever. Pas facile...mais faisable, j'ai l'habitude après tout. Visionnage de l'environnement : cadavres de bouteilles et mégots de cigarettes, cadavres d'humains complètement bourrés et autres substances humaines non identifiable...charmant. Une fois debout sur mes jambes branlantes, je m'avance d'une démarche peu sur vers la sortie. En passant devant un miroir je m'examine, frisson d'horreur : des cernes de dix pieds de long, les cheveux en bataille, les vêtements en vrac, puant le whisky pur feu à cent kilomètres à la ronde...Encore une fête qui a mal tournée, comme d'habitude."Tu t'en vas ?" me demande une voix embué par l'alcool. Pas de réponse, ça n'en vaut pas la peine, il ne s'en souviendra plus la seconde d'après. Je continue mon expédition, une fois passé la porte je verrouille les souvenirs de cette soirée dans ma tête, histoire d'éviter les mauvais flash-back. Je préfère ne pas me souvenirs de ce que j'ai fait, parfois l'ignorance c'est mieux. Je crapahute jusqu'à ma chambre me frayant un chemin entre les gosses bruyants qui viennent juste de se lever. Mon mal de tête empire, c'est affreux, j'm'entends même plus penser. Comme à mon habitude je jure un bon coup et je me promets de ne plus jamais boire autant et bien je ne tiendrais jamais ça, ça va de soit. J'entrai dans sa chambre quand soudain je trouvai une alien sur ses draps, une vraie, elle s'appelait Agathe et venait de Venus, car c'est bien connu : les femmes viennent de Venus et les hommes de Mars. Donc cette petite extraterrestre rousse était élégamment affalée sur mon lit et me regardait avec un grand sourir. Qu'avait-elle encore préparé de tordu...Hier on avait toutes les deux étaient à Pré-au-lard pour s'acheter des robes pour le bal et j'vous dit pas ce qu'elle avait essayé...j'ai encore les photos.
"Aggie darling, que viens-tu faire à cette heure du matin dans mon lit ? Et d'ailleurs où tu étais hier ? On a fait une fête démentielle t'aurais du venir. Mon dieu ne me dit pas qu'tu portes cette robe, tu vas à un carnaval ou tu as encore imité ton frère en train de manger ? Mon dieu regardes ma tête, j'suis affreuse tu permets j'vais me décrasser."
"J'viens t'apporter à manger. J'étais entrain fait de la peinture murale dans ma chambre. Je sais on m'en a parlé. Non j'ai remis le même T-shirt qu'hier. J'avoue, je t'attends."
Entre elle et moi c'était toujours comme ça, d'ailleurs personne n'y comprenais jamais rien, à part Taylor peut être. D'ailleurs où est-il celui là. La dernière fois que je l'aie vu il était en train de faire un strip tease sur la table avec une cravate autour de la tête. Bof il a dû se trouver quelqu'un pour finir la nuit. Une petite douche rapidos, mon dieu que ça fait du bien. Un petit tour devant le miroir, on s'arrange la façade et j'sors de la salle de bain. J'passe à poil dans la chambre mais j'm'en fiche, on n'est pas prude entre nous. J''prends une chemise blanche à Taylor, il a dû l'oublier là une fois, un vieux jeans tout troué et une paire de bottes. Je rejoignis Agathe puis commença à lui raconter tout et n'importe quoi...surtout n'importe quoi. Pendant au moins une heure on discuta tout en mangeant des brioches qu'elle m'avait si gracieusement apportées, qu'elle perle cette fille. Puis dans un élan de courage nous décidâmes de sortir nous rafraichir et nous laver le cerveau de l'odeur de renfermé qui habitait ma chambre. Nous marchâmes quelques temps tout en critiquant la moindre personne qui apparaissait dans notre champ de vision. "T'as vu la dernière coupe de ... quelle horreur" "Et le petit ami de ..." "J'trouve que ... était mieux avant qu'il décide de se laisser pousser la barbe." Et patati et patata...
"Mon dieu Suzy, ya un mec bizarre qui te matte d'une façon que même moi j'te materai pas."
"Ça doit être un pervers, s'il a les yeux luisants, c'est un pervers."
"Ouais il doit attendre que tu t'penches pour prendre en photo ta culotte."
"J'en aie pas. Ca m'donne froid dans l'dos ce genre de type."
"Moi pareil...au fait Su, j'ai entendu dire que les moldus avait attaqué le magasin de Mme Guipure."
"Mon dieu quelle horreur, c'est un péché contre la mode, ils n'ont vraiment rien dans la tête. Et puis les moldus ne devraient pas avoir accès à la magie, ils ne sont pas capables de vivre en paix sans, alors imagine avec ! S'ils ne sont pas sorciers, c'est bien pour une raison. Maintenant à cause d'eux, on est en guerre. C'était beaucoup mieux avant qu'ils ne sachent."
"Oui, le chocolat c'est mieux déjà."
"Ô mon dieu m'en parle pas, j'ai trop faim..."
J'entendis des pas se rapprocher vers nous et une voix roque et suave nous dire "Vous croyez que les moldus sont les seuls responsables, c'est cela ?". Je me retournai vers l'opportun. Ouaaaaaaaaaaaw canon, un air sauvage, viril, un adulte. Mes sens de prédatrice se mirent en alerte maximum. Je me revêtis d'une moue septique destinée à le faire craquer. Puis soudain ces paroles revinrent à mes oreilles comme un écho. Je me figeai d'un coup, mince un pro-moldu. J'me doutais que quoi que je réponde, j'aurais le droit à une morale en bonne et due forme.
"Non, ils ne sont pas les seuls responsables, mais ils sont majoritairement fautifs dans ce conflit, pourquoi vouloir avoir accès à la magie, si ça devait être fait, ça serait fait depuis longtemps."
Je regardais cet homme droit dans les yeux soutenant son regard brulant. Cet homme torturé et blessé par la vie. Je le trouvais touchant, sa démarche hésitante, son regard fuyant, son allure , il avait un charme fou. Je sentis Agathe étouffer un rire à côté de moi, elle comprenait beaucoup de choses cette Agathe, sans doute plus que je n'en comprendrai jamais.
"Après c'est mon opinion, il se peut que je me trompe, comme il se peut que ce soit toi. Au fait moi c'est Suzy, pervers." |
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| | Sujet: Re: we're better together. pv suzy. Mer 31 Déc - 16:37 | |
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Il avait devant lui sa Maureen. Des yeux de la même couleur, des yeux dans lesquels il aimait de plonger et se perdre. Des lèvres charnues et ourlées à merveille, qui laissaient légèrement entrevoir les dents. Des lèvres avec lesquelles il aimait se confondre. Des traits harmonieux, qui ne faisait pas d’elle la femme la plus belle du monde aux yeux des autres personnes. Mais du point de vue de Sonny, Maureen était la femme la plus extraordinaire qu’il n’ait jamais rencontré. La jeune fille qu’il avait devant lui, qui que ce soit était un envoyé du ciel. Dieu lui avait envoyé sa femme, ou une copie, pour lui redonner un peu d’espoir et un sens à sa vie. Elle fit la moue. Une moue sceptique que Maureen faisait à longueur de journée. Incertaine, elle l’était. Toujours en train de se poser dix milles questions avant de faire quelque chose, se demandant si elle devait plutôt le faire de cette façon ou d’une autre. Et à longueur de journée, Sonny essayait désespérément de lui faire comprendre qu’elle était la femme la plus douée qu’il n’ait jamais vu. La plus belle, la plus doué. Mon dieu, n’était-ce qu’une copie ou était-ce vraiment Maureen ? Il posa son bras en hauteur sur une des colonnes à proximité. Il était troublé et était sûr de tomber à la renverse d’un instant à l’autre. Sa femme lui avait toujours fait ce genre de sensation. Elle lui donnait le tournis à chaque fois qu’elle le regardait. Il avait des vertiges à chaque fois que son regard croisait le sien. Il sentait ses jambes se dérobaient quand elle le touchait. Il était éperdument amoureux. Il est éperdument amoureux. Et là voilà qu’elle apparaît de nouveau devant lui après deux ans d’absences… Jamais il ne voulait briser ce lien entre lui et l’envoyé du ciel. Elle jouait parfaitement Maureen. Elle ouvrit la bouche. Elle allait lui répondre. Maureen parlait d’une voix mélodieuse, tellement qu’elle avait l’air d’interpréter une chanson sublime à chaque fois qu’elle déversait ses flots de paroles. We are better together, yeah we are better together. Mais le charme se brisa. Sa voix n’était pas la même, mais c’est son opinion sur les moldus qui froissa Sonny. L’envoyé du ciel avait des défauts. Maureen n’en avait pas. Mais ce n’était pas pour autant une contrefaçon. C’était une réplique efficace, pas parfaite, mais profondément efficace pourtant.
ENVOYE DU CIEL : « Non, ils ne sont pas les seuls responsables, mais ils sont majoritairement fautifs dans ce conflit, pourquoi vouloir avoir accès à la magie, si ça devait être fait, ça serait fait depuis longtemps. Après c'est mon opinion, il se peut que je me trompe, comme il se peut que ce soit toi. Au fait moi c'est Suzy, pervers. »
Ce n’était pas Maureen, il en était sûr maintenant. Sa voix ne ressemblait pas à une mélodie enivrante. La personne qu’il avait devant lui était plutôt vif et franche. Maureen était hésitante et incertaine. Elle n’avait pas les mêmes opinions que l’envoyé du ciel : elle préférait plutôt les garder pour elle, ne préférant pas se positionner pour être focaliser sur le bien de sa famille. Pervers. Pour qui se croyait-elle ? Il détourna le regard de la jeune fille et essaya comme il le pouvait de ne plus le recroiser. Car quand elle se taisait, elle retrouvait tout son charme et toutes les caractéristiques de Maureen. Avec elle, il savait qu’il se trompait. Il se tromperait toujours et il se tromperait tout le temps. C’était comme le papillon attirait par une fleur qui révélait sa véritable identité en dévorant l’insecte. L’envoyé du ciel semblait angélique mais il ne l’était pas tellement. Du moins, pas quand elle parlait… Mais au fond de lui, Sonny sentait qu’il était tenté. Tant de temps sans Maureen, sans aucune femme. L’homme reste un homme et garde ses hormones. Il tenta de se perdre à nouveau dans les yeux de l’inconnu divin. Il était une nouvelle fois piégée. Dans sa poche son poing se figea alors que la main sur la colonne manqua de glisser. Les mêmes yeux. Il était encore une fois obnubilé par tant de charme. Ils sont majoritairement fautifs, pouvoir vouloir avoir accès à la magie ? Il reprit ses esprits. Difficilement. Tout en lui explosait en milles morceaux. Il ne pouvait localiser le foyer de cette perturbation. La réaction en chaîne fut trop rapide et ses sens trop perturbés pour comprendre ce qu’il se passait en lui. Son amour pour Maureen reprenait contrôle de son corps ? Sa haine, sa colère disparaissait ? Ils sont majoritairement fautifs. Fautifs. Fautifs. Sa colère était bien présente encore. C’était à cause de ce genre de point de vue que son fils était mort. Que Maureen était parti. Que sa vie était fichue.
SONNY : « La recherche du pouvoir est légitime. C’est ce qui rythme toute notre vie et c’est d’ailleurs ce qui nous fait vivre. Alors pourquoi les sorciers pourraient avoir un pouvoir bien plus puissant que leurs semblables ? Pourquoi pourraient-ils se le réserver ? Je ne partage pas votre opinion, jeune fille. Et vous devriez garder vos réflexions pour vous-même. »
Il avait laissé sa colère surgir. Il combattait depuis deux ans des personnes qui partageait ce point de vue avec elle, qu’ils soient extrémistes ou pas. Le monde n’était pas fait d’absolus mais ceux qui s’en rapprochaient étaient à mettre dans le même lot. Sa colère était sortie, il n’avait pas le choix. Il avait appuyé particulièrement sur le vous. Elle n’avait aucune raison de le tutoyer. C’était un manque de respect qui contrastait avec la vraie Maureen. Maureen n’aurait jamais utilisé le tutoiement devant un aîné, n’aurait jamais traité de pervers un homme qu’elle ne connaissait pas. Au fond, l’envoyé de dieu était assez irritant quand il parlait. Elle respirait des années de débauche et de neutralité passées dans des fêtes à s’amuser et son comportement en était totalement imbibé. Elle s’appelait Suzy… Elle ne savait pas comment il s’appelait. Il n’avait aucune envie qu’elle le sache. Sonny ne le souhaitait pas, pas maintenant. Dans ses réflexions, il avait totalement omis de noter son nom. Suzy. Copie conforme de Maureen à l’extérieur à quelques détails près. Etonnant contraire de Maureen à l’intérieur. Mais tant de charme. Après deux ans de guerre, deux ans de duels, deux ans de privation, n’avait il pas le droit à un peu de réconfort avec sa Maureen ? Ou du moins avec sa copie ? C’était légitime et c’était la récompense dont il avait légitimement droit. Du réconfort. Du repos. Faire en sorte de se recentrer sur lui-même. Suzy, enchanté.
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